Est-ce une resurgence de Balanceleson.com, cet ancien service en ligne d’Universal Music France destiné à découvrir de nouveaux talents ? Selon le New York Times, sa maison mère a lancé aux Etats-Unis un label virtuel, baptisé Universal Music Enterprises Digital, pour promouvoir en ligne des artistes ou des groupes méconnus. Leurs titres sont placés sur des plates-formes de musique légale comme iTunes Music Store d’Apple, Rhapsody de RealNetworks ou MSN Music de Microsoft.
Principal intérêt de ce système pour la maison de disques : il réduit fortement les coûts financiers et de réduire les risques commerciaux liés au lancement d’un nouvel artiste. Celui-ci bénéficie de l’estampille Universal Music mais le soutien demeure limité. En effet, la maison de disques ne verse pas d’avances et ne contribue pas aux frais de production d’un album. L’artiste ou le groupe doit s’investir dans les ventes de ses titres à travers son propre site Internet ou en développant des canaux de vente alternatif (comme sur eBay par exemple).
Dans tous les cas, l’artiste qui accepte de signer sous ce label virtuel reste propriétaire de ses compositions musicales. L’accord signé avec Universal Music constitue juste une licence à durée limitée. Si les premiers pas se révèlent convaincants (c’est à dire en vendant 5000 copies d’un single), Universal Music envisage de pousser les titres sur un CD vendu dans les réseaux de magasins de disques. C’est généreux….
Quelle part d’incertitude faut-il accepter dans la mise en conformité des IA avec le RGPD…
Microsoft a dévoilé les prix des mises à jour de sécurité étendues pour Windows 10.…
Docaposte a sélectionné une douzaine de spécialistes français pour créer un Pack cybersécurité spécialement étudié…
La Surface Pro 10 sera disponible le 9 avril en France. Passage en revue de…
Que réserve Office 2024 ? Une première version de test officielle sera disponible en avril.…
Microsoft Teams évolue dans une version « unifiée » qui permet de combiner les usages…