Le réseau social de Google, Google+, continue de se développer, avec cette fois un outil très décrié, car pouvant mettre en danger la vie privée de ses utilisateurs : la reconnaissance faciale.
Comme sur son concurrent Facebook, l’outil est utilisé pour aider à tagguer les photos. Mais cette fois, une demande d’autorisation pour « Find My Face » est adressée à chaque membre individuellement explique Matt Steiner, ingénieur responsable des photos sur Google+.
Et bien sûr, il est toujours possible de supprimer les tags mis par les autres. L’outil est également désactivable dans les options.
En décembre dernier, Facebook avait donc introduit une fonction similaire, mais cette fois, il laissait les utilisateurs réfractaires fouiller eux-mêmes dans les paramètres pour la désactiver.
Une initiative qui est mal passée auprès des défenseurs de la vie privée. L’association Internet Sans Frontières a ainsi porté plainte devant la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés), soulignant que Facebook montait une base de données biométrique en toute illégalité, et sans en prévenir ses membres.
Google+ est cette fois plus transparent. Cela suffira-t-il à apaiser les esprits ?
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