Concrétisation d’un partenariat stratégique visant à constituer une infrastructure de cloud computing 100% française capable de s’affirmer comme une alternative crédible à ses homologues américaines, le projet Andromède a du plomb dans l’aile.
L’une de ses parties constitutives, en l’occurrence le groupe Dassault Systèmes, hisse le drapeau blanc et annonce sa défection d’un consortium dans lequel il avait injecté 60 millions d’euros.
Entérinée en septembre dernier et effective depuis le 1er novembre, cette alliance qui implique par ailleurs France Telecom et Thalès, respectivement à hauteur de 60 et 30 millions d’euros, vise à « concevoir, bâtir et opérer une « centrale numérique » de confiance et sécurisée, à vocation européenne« .
Détenteur d’un tiers des parts du groupement, l’Etat français s’y est investi à hauteur de 135 millions d’euros. Une somme issue des quelques 4,5 milliards alloués dans le cadre du Grand Emprunt.
A l’origine d’un tel revirement qui laisse un vide à combler d’un nouveau tour de table, un désaccord entre France Telecom et Dassault Systèmes, auquel Atos et Capgemini sont pressentis pour succéder, comme l’expliquent nos confrères de Silicon.fr.
Sur le papier, Andromède reste une initiative intéressante, destinée à concurrencer l’hégémonie américaine dans le domaine du cloud computing, emmené par Microsoft, Google et Amazon.
Quelle part d’incertitude faut-il accepter dans la mise en conformité des IA avec le RGPD…
Microsoft a dévoilé les prix des mises à jour de sécurité étendues pour Windows 10.…
Docaposte a sélectionné une douzaine de spécialistes français pour créer un Pack cybersécurité spécialement étudié…
La Surface Pro 10 sera disponible le 9 avril en France. Passage en revue de…
Que réserve Office 2024 ? Une première version de test officielle sera disponible en avril.…
Microsoft Teams évolue dans une version « unifiée » qui permet de combiner les usages…