Fiches d’information, brochure tarifaire, conditions générales de vente et d’abonnement… Vous ne trouverez pas, dans la documentation relative aux forfaits Freebox, de distinction entre « particuliers » et « professionnels ».
Rien n’empêche donc une entreprise de souscrire un de ces forfaits plutôt qu’une offre B2B, aussi longtemps qu’elle garde à l’esprit les engagements de Free. Et plus précisément l’absence de certaines garanties qu’on trouve dans les offres qu’Orange, SFR et Bouygues Telecom dédient aux professionnels.
Ces garanties s’expriment en termes de disponibilité, de débits, de continuité de service ou encore de délai de rétablissement. Elles sont parfois rattachées à des technologies d’accès que Free n’a pas dans son catalogue, à l’image du SDSL – paire de cuivre à débit symétrique – et de la fibre dédiée.
Les offres « pros », c’est aussi la porte ouverte sur un éventail de services et de fonctions avancées de communication. Elles impliquent cependant des tarifs plus élevés, aussi bien pour les abonnements que pour les frais annexes de type mise en service. Ainsi que des périodes d’engagement allant généralement de 1 à 3 ans.
Chez Free, il n’est pas question d’engagement. Mais pas non plus de service client dédié. Il faut passer par l’assistance en ligne ou le 3244 (7 jours sur 7 de 7 h à minuit).
Les principales garanties pour l’ensemble des forfaits Freebox sont les suivantes :
La mise en service se fait sous 30 jours ouvrés à compter de la confirmation de la demande de souscription, pour peu que le raccordement soit actif (autrement, il faut « construire » la ligne).
Il existe bien un délai de rétablissement de l’accès, mais il est sans comparaison avec ceux qui font foi sur de nombreuses offres professionnelles. Il est en l’occurrence de 15 jours ouvrés à compter de la signalisation par l’abonné. Pour les services – moyennant un accès fonctionnel -, il varie de 24 h (Internet, TV) à 72 h (téléphonie).
Le forfait Freebox Révolution présente une garantie supplémentaire : une intervention sur site sous 10 heures ouvrées en cas de problème technique non résolu par l’assistance téléphonique. Le tout assorti d’un droit à compensation à hauteur de 1 € par heure de retard, dans la limite de 10 € par mois.
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