Press release

Les investisseurs canadiens préfèrent aller chez le dentiste que de payer des impôts, et sont demandeurs de planification fiscale, d’après une étude de Natixis

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  • 27 % des investisseurs affirment que leur conseiller financier
    n’a rien fait pour les aider à élaborer des stratégies de
    planification fiscale.
  • Plus de la moitié des investisseurs seraient prêts à changer de
    conseiller afin d’être mieux conseillés sur les conséquences des
    impôts pour leur portefeuille.
  • Deux tiers des investisseurs pensent qu’ils auront besoin de
    conseils financiers à la retraite en matière de planification fiscale,
    de compréhension des risques financiers, de gestion des dettes et de
    succession.

TORONTO et BOSTON–(BUSINESS WIRE)–D’après une nouvelle étude de Natixis Global Asset Management, 41 % des
investisseurs canadiens trouvent moins d’attrait à payer leurs impôts
qu’à aller chez le dentiste, faire réparer leur véhicule ou remplir un
dossier de demande de prêt immobilier. Cependant, les résultats de
l’étude indiquent que la planification fiscale est peut-être le domaine
où les investisseurs ont le plus besoin de formation et de conseils
professionnels pour atteindre leurs objectifs d’épargne et de retraite.
Malheureusement, près de la moitié (46 %) des personnes interrogées ont
déclaré ne pas discuter des placements fiscalement avantageux avec leur
conseiller financier.


« Les conseillers financiers auraient tout intérêt à se pencher sur la
demande en conseils en matière de planification financière, à une époque
où les investisseurs sont très attentifs à la valeur du conseil par
rapport au prix payé. Les conseillers peuvent guider les investisseurs
en matière de lois fiscales, qui sont complexes et portent à confusion
», affirme Abe Goenka, CEO de Natixis Global Asset Management Canada. «
Les impôts peuvent avoir des conséquences lourdes sur les rendements.
Notre étude montre que la majorité des Canadiens tiennent compte des
conséquences fiscales de leurs décisions d’investissement. Si les
conseillers n’agissent pas, leurs clients le feront. »

Au Canada, les revenus de placements peuvent être taxés à plus de 50 %,
selon la tranche d’imposition et la province de résidence de la
personne. Natixis a établi que plus de 5 % des impôts annuels payés par
la plupart des investisseurs (58 %) provenaient des rendements.

« Les conseillers disposent d’un large éventail d’outils pour proposer
aux investisseurs des stratégies de placement plus avantageuses du point
de vue fiscal. Même si beaucoup de conseillers prétendent appliquer ces
stratégies, notre étude montre que la plupart d’entre eux se contentent
de la partie émergée de l’iceberg, à savoir l’utilisation accrue des
comptes enregistrés assortis d’avantages fiscaux », déclare Robert
Handelman, vice-président Impôts et fortune chez Natixis Global Asset
Management Canada.

D’après l’étude :

  • Près de six investisseurs sur dix (59 %) déclarent que leur conseiller
    leur a recommandé d’augmenter leurs placements dans des comptes
    enregistrés tels que les REER, les CÉLI et les REEE.
  • Seuls 22 % des investisseurs rapportent que leur conseiller a détaillé
    les conséquences fiscales par type de revenu de placement.
  • Seuls 17 % des conseillers ont encouragé le partage des revenus avec
    des membres de la famille aux revenus inférieurs.
  • À peine 15 % ont abordé la question des dons de bienfaisance.

Préparation de la retraite : les impôts sont-ils la seule garantie
pour les investisseurs ?

Si jadis les individus comptaient sur une pension d’employeur, des
prestations gouvernementales et leurs propres économies pour s’assurer
une source de revenus stables à la retraite, 78 % des Canadiens ont le
sentiment que le financement de leur retraite leur incombe de plus en
plus. Mais 77 % compteraient plutôt sur leur famille que sur les
programmes gouvernementaux (74 %) pour sécuriser leurs finances à la
retraite dans le cas où leurs propres économies seraient épuisées.

Dans une enquête distincte, menée auprès de 300 investisseurs
individuels, Natixis a relevé que beaucoup d’entre eux prenaient des
mesures positives pour remplir cette obligation en économisant 9 % en
moyenne de leurs revenus annuels en vue de la retraite et en cotisant à
un régime de retraite d’employeur (64 %). La majorité des investisseurs
(97 %) s’attendent à ce que leurs économies et placements personnels, y
compris les régimes d’épargne-retraite et autres économies et placements
personnels, constituent une source très importante pour l’argent dont
ils auront besoin à la retraite. D’après l’étude :

  • Seuls 23 % des Canadiens s’attendent à ce que les programmes
    gouvernementaux, tels que les pensions publiques, soient une source de
    revenus très importante. Près d’un tiers (32 %) s’attendent à ce que
    les prestations gouvernementales ne soient même plus disponibles d’ici
    leur départ à la retraite.
  • 60 % dépendront de l’épargne-retraite de leur conjoint.
  • 39 % se tourneront vers leurs enfants pour une aide financière et un
    hébergement si nécessaire.
  • 50 % déclarent que l’héritage est une source de financement importante
    pour la retraite, et 45 % s’attendent à toucher un héritage.

L’attente d’un héritage financier peut faire de nombreux déçus, surtout
quand les investisseurs eux-mêmes considèrent que le fait de ne pas
suffisamment mettre de côté (30 %) est la plus grande menace qui pèse
sur leur retraite, et suggèrent ainsi qu’ils pourraient ne rien avoir à
léguer. Suivent les incertitudes liées au coût des soins de longue durée
et des soins de santé (18 %) et l’inflation (14 %). De plus, même si un
nombre important de Canadiens (81 %) prévoient de laisser un héritage à
leur famille, quatre sur dix (43 %) n’ont pas pris la peine de rédiger
un testament, ce qui risque d’avoir des conséquences juridiques et
fiscales pour leur famille et leurs héritiers.

« Dans bien des cas, il n’est pas judicieux de compter sur un héritage
pour financer sa retraite, car cela repose sur l’hypothèse que la
génération précédente a préparé et géré efficacement sa propre retraite,
en tenant compte des conséquences de l’inflation, des impôts et de la
hausse de l’espérance de vie », déclare M. Handelman.

Le rôle de la planification et du conseil

Les Canadiens ont en général une approche proactive et pragmatique de la
planification de leur retraite. Environ 60 % ont élaboré un plan
financier pour atteindre leurs objectifs d’épargne, 77 % ont en tête le
montant approximatif qu’ils doivent économiser avant de prendre leur
retraite, et 59 % ont une idée claire du montant qu’ils doivent mettre
de côté chaque année pour atteindre cet objectif. Mais près de 40 %
n’ont pas estimé les dépenses auxquelles ils devront faire face une fois
à la retraite.

Deux tiers des investisseurs (65 %) reconnaissent qu’ils ont besoin de
conseils financiers, même à la retraite. Près de la moitié déclarent
avoir besoin d’un conseil professionnel pour la planification fiscale
(46 %), pour la compréhension des risques financiers (41 %) et pour la
gestion des dettes (40 %). Presque autant (35 %) reconnaissent qu’ils
ont besoin d’aide pour la planification successorale.

Méthodologie

Natixis a interrogé 300 investisseurs particuliers au Canada disposant
d’un minimum de 134 894 CAD (100 000 USD) d’actifs à placer. L’enquête
en ligne s’est déroulée en février/mars 2017 et s’inscrit dans une étude
mondiale plus vaste portant sur 8 300 investisseurs de 26 pays d’Asie,
d’Europe, des Amériques et du Moyen-Orient. Les résultats sont publiés
dans un nouveau livre blanc, « Retraite, décès et fiscalité »
(Retirement, Death, and Taxes). Pour de plus amples informations,
veuillez consulter http://durableportfolios.com/Individual-Investor-Retirement-Survey-2017.

Natixis a également interrogé 500 investisseurs canadiens sur leurs
besoins et stratégies de planification fiscale, dont 329 qui ont recours
à une forme ou une autre de conseil financier. L’enquête en ligne s’est
déroulée en avril 2017.

À propos de Natixis Global Asset Management
Natixis Global
Asset Management est au service de professionnels en placement
chevronnés du monde entier, à qui elle propose de nombreuses façons
d’investir de manière éclairée. En utilisant notre approche de
constitution de portefeuilles durables (Durable Portfolio Construction®),
nous mettons l’accent sur les risques pour aider ces professionnels à
constituer des portefeuilles stratégiques conçus pour faire face à
l’imprévisibilité des marchés modernes. Nous puisons dans la vaste
expertise des investisseurs et notre connaissance approfondie du secteur
et nous travaillons en étroite collaboration avec nos clients pour aller
au-delà des données objectives.

Natixis Global Asset Management se classe parmi les sociétés de gestion
d’actifs les plus importantes au monde.1Grâce à plus de 20
gestionnaires de placements spécialisés à l’échelle mondiale (qui ont
877 milliards USD d’actifs sous gestion2nous proposons une
gamme diversifiée de solutions pour chaque avenue stratégique. Forte de
sa capacité à mettre ses connaissances en pratique, Natixis Global Asset
Management aide ses clients à offrir un service supérieur à leurs
propres clients, en misant sur des portefeuilles plus durables.

Natixis Global Asset Management, S.A., dont les sièges sont situés à
Paris et à Boston, fait partie de Natixis. Cotée à la Bourse de Paris,
Natixis est une filiale de la BPCE, deuxième groupe bancaire en France.
Les sociétés de gestion de placements et les groupes de placement et de
service suivants sont membres du même groupe que Natixis Global Asset
Management, S.A. : Active Index Advisors;3 AEW Capital
Management ; AEW Europe ; AlphaSimplex Group ; Axeltis ; Darius Capital
Partners ; DNCA Investments ;4 Dorval Finance ;5
Emerise ;6 Gateway Investment Advisers ; H2O Asset Management
;5 Harris Associates ; IDFC Asset Management Company ;
Loomis, Sayles & Company ; Managed Portfolio Advisors ;3
McDonnell Investment Management ; Mirova ;5 Natixis Asset
Management ; Ossiam ; Seeyond ;7 Vaughan Nelson Investment
Management ; Vega Investment Managers ; et Natixis Global Asset
Management Private Equity, qui inclut Seventure Partners, Naxicap
Partners, Alliance Entreprendre, Euro Private Equity, Caspian Private
Equity et Eagle Asia Partners. Les offres ne sont pas toutes
disponibles dans toutes les juridictions.
Pour de plus amples
informations, consultez le site de la société sur ngam.natixis.com
| LinkedIn : linkedin.com/company/natixis-global-asset-management

Au Canada :le présent document est fourni par NGAM Canada
LP/Natixis Global Asset Management Canada.

1 Mise à jour quantitative de Cerulli : Global
Markets 2016 a classé Natixis Global Asset Management, S.A. comme le 16
e
gestionnaire d’actifs dans le monde selon les actifs sous gestion (870,3
milliards USD) au 31 décembre 2015.

2Valeur
liquidative au 31 mars 2017. Les actifs sous gestion (ASG) peuvent
inclure des actifs pour lesquels des services non réglementaires sont
fournis. Les ASG non réglementaires comprennent des actifs qui ne
correspondent pas à la définition « d’ASG réglementaire » de la U.S.
Securities and Exchange Commission dans le formulaire ADV, partie 1.

3
Une division de NGAM Advisors, L.P.
4 Une
marque de DNCA Finance.

5Une filiale de
Natixis Asset Management.

6 Une marque de
Natixis Asset Management et de Natixis Asset Management Asia Limited,
situées à Singapour et à Paris.

7 Exploitée
aux États-Unis par Natixis Asset Management U.S., LLC.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Natixis Global Asset Management
Elizabeth Bartlett, 617-449-2549
Elizabeth.Bartlett@ngam.natixis.com
ou
Natixis
Global Asset Management
Ted Meyer, 617-449-2507
Ted.Meyer@ngam.natixis.com