Les travaux du Data Transfer Project aboutissent à un premier outil qui connecte Facebook et Google Photos.

Les travaux du Data Transfer Project aboutissent à un premier outil qui connecte Facebook et Google Photos.
En adoptant la plateforme Alteryx, la Caisse d’Épargne Hauts-de-France (groupe BPCE) a permis de rendre le traitement et la manipulation de la donnée accessibles aux différents métiers de la banque, et d’améliorer considérablement les processus opérationnels.
Google a publié une base de 3 000 vidéos pour soutenir la recherche et le développement d’outils de détection de vidéos truquées par une IA.
Une fois que les ressources analytiques de l’entreprise ont été organisées, annotées avec des informations critiques et des scores indiquant leur qualité et utilité, il est ensuite possible de ‘‘socialiser’’ : collaborer entre plusieurs équipes et secteurs d’activité. Résultat : des gains potentiels en termes de productivité et d’innovation.
L’entreprise a besoin d’une vision globale des données : le lignage permet de déterminer d’où celles-ci proviennent, leurs parcours et transformation. En permettant une meilleure compréhension de la sémantique des données, l’utilisateur a ensuite l’opportunité de mieux les utiliser.
Les métiers qui forment l’entreprise ont souvent du mal à sourcer les données, savoir si elles sont de qualité et comment les utiliser. Avec le catalogage de tous les actifs de données et d’analyses dans l’organisation, dans une seule vue consolidée dotée d’une interface semblable à un moteur de recherche, les collaborateurs n’ont qu’à se connecter pour les exploiter.
Le volume des données continue de croître de manière effrénée et les difficultés que rencontrent les entreprises et les utilisateurs privés concernant le stockage des données ne cessent d’augmenter. En termes d’efficacité, de sécurité et de coûts, il est essentiel d’utiliser les bons disques durs pour les différents cas d’utilisation. L’un des critères décisifs est
L’économie numérique fournit aux entreprises un volume de données sans précédent, qui révolutionne la prise de décision et optimise les performances de l’entreprise. Cependant, avec des données éparpillées partout dans l’entreprise, leur analyse est devenue un problème mondial. La découverte des actifs de données et des solutions de catalogage automatisant le processus, permettant de centraliser, organiser et faciliter l’utilisation des données pour en extraire davantage de valeur commerciale, est clé.
Apple rejoint Google et Microsoft dans les rangs du Data Transfer Project, initiative open source destinée à favoriser la portabilité des données.
Samsung publie la bêta d’un kit de développement d’applications mobiles décentralisées (DApps) basées sur la blockchain Ethereum.
Le robot d’exploration de Google ne prendra bientôt plus les instructions noindex renseignées dans les fichiers robots.txt. Quelles méthodes alternatives ?
Microsoft révise la tarification de OneDrive et y ajoute un « coffre-fort virtuel » destiné à protéger certains fichiers par authentification forte.
Gartner attribue au marché mondial des logiciels RPA (robotisatin des processus) une croissance notable entre 2017 et 2018. Mais la valeur dégagée reste moindre.
Dans la lignée de son rapprochement avec l’Ethereum Enterprise Alliance, le consortium Hyperledger accueille l’un de ses membres fondateurs : Microsoft.
Facebook a officialisé son projet visant à créer une monnaie mondiale assortie de services financiers. De nombreux aspects restent à préciser.
Tandis que Google et Salesforce se renforcent dans la visualisation de données par croissance externe, Microsoft enrichit son offre Power BI.
Salesforce a dépensé six fois plus pour Tableau Software que Google pour Looker. Un tel écart se justifie-t-il entre ces deux « data-deals » ?
Gartner souligne les risques d’obsolescence que présentent les projets fondés sur des blockchains, ces dernières restant à un stade de maturation.
Google fait évoluer la présentation des résultats dans son moteur de recherche sur mobile. La publicité est aussi concernée.
Des suspicions émergent quant à l’historique d’achats que Google constitue pour chacun de ses utilisateurs, notamment à partir de données issues de Gmail.
Google fait la lumière sur Translatotron, système expérimental destiné à traduire la parole dans une langue étrangère sans transcrire la voix en texte.
SanDisk lance la commercialisation à grande échelle de ses cartes microSD 1 To. Le prix d’entrée dépasse 500 € sur le marché français.
HTC annonce une déclinaison « plus abordable » de son smartphone Exodus, présenté comme la porte vers un Web décentralisé, à renfort de blockchain.
Ce nouveau service de Dropbox fonctionne sur son infrastructure Magic Pocket. Il promet des réductions de coûts de l’ordre de 25%.
Les algorithmes s’immiscent dans notre quotidien, sans le discernement propre à l’humain, mais avec une tendance à en reproduire les biais. Comment appréhender les algorithmes d’apprentissage automatique ?
L’une des raisons est que si l’on parle beaucoup de numérique, du cloud, des méthodes agiles ou d’intelligence artificielle, leur intégration reste limitée.
Pour une PME, le stockage en ligne ne se limite pas à choisir One Drive de Microsoft et Google Drive. ITespresso passe en revue six solutions en mode SaaS.
La Cnil propose un espace dédié au RGPD pour les start-up. Entré en application depuis mai 2018, le respect du règlement européen est un sujet majeur dans les missions du régulateur.
Bruxelles enclenche une phase de mise en pratique de ses nouvelles lignes directrices visant à accompagner le développement des systèmes d’IA.
Adobe, Microsoft et SAP portent l’Open Data Initiative