Press release

L’Impériale a réalisé un bénéfice de 196 millions de dollars au deuxième trimestre de 2018

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CALGARY, Alberta–(BUSINESS WIRE)–Imperial Oil Limited (TSX:IMO):

  • Les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation se
    sont élevés à près de 900 millions de dollars et plus de 1 milliard de
    dollars a été versé aux actionnaires.
  • L’Impériale a renouvelé le programme de rachat d’actions. Plus de 1,6
    milliard de dollars a été versé aux actionnaires dans le cadre du
    programme de 12 mois antérieur.
  • D’importants travaux d’entretien prévu dans les secteurs Amont et Aval
    ont été achevés. L’Impériale est bien placée pour un deuxième semestre
    vigoureux.
       
Deuxième trimestre Période de six mois
en millions de dollars canadiens, sauf indication contraire   2018   2017     %       2018   2017   %
Bénéfice (perte) net (PCGR des États-Unis) 196   (77 )   355 712   256   178
Bénéfice (perte) net par action ordinaire 0,24 (0,09 ) 367 0,86 0,30 187
– compte tenu d’une dilution (en dollars)
Dépenses en immobilisations et frais d’exploration 284 143 99 558 296 89
 

Le bénéfice net estimé du deuxième trimestre de 2018 s’élève à
196 millions de dollars, ce qui représente une augmentation de
273 millions de dollars comparativement à la perte nette de 77 millions
de dollars pour la même période en 2017.

Le trimestre a été marqué par d’importants travaux d’entretien prévu aux
principaux actifs des secteurs Amont et Aval d’Impériale. Ces activités
ont eu une incidence sur les résultats d’exploitation et étaient
conformes à l’engagement de la compagnie à maintenir la sécurité et la
fiabilité de ses opérations. Des travaux d’entretien prévu ont eu lieu à
l’une des deux usines de Kearl, à la deuxième plus grande usine de Cold
Lake, à la plus grande usine de cokéfaction de Syncrude, et à
Strathcona, la plus grande raffinerie de la compagnie.

« L’achèvement du calendrier d’entretien lourd au deuxième trimestre
place la compagnie en bonne position pour une solide performance
opérationnelle au deuxième semestre de 2018 », a déclaré Rich Kruger,
président du conseil, président et chef de la direction.

Le débit moyen des raffineries a été de 363 000 barils par jour et les
ventes de produits pétroliers étaient de 510 000 barils par jour en
moyenne. Malgré les activités d’entretien de la raffinerie de
Strathcona, l’Impériale a atteint son plus haut volume de ventes
trimestrielles en près de 30 ans, ce qui démontre l’engagement de la
compagnie à accroître ses ventes et à garantir un approvisionnement
fiable à ses clients. Afin de maximiser la valeur, l’Impériale a
continué de tirer parti de ses capacités logistiques et ses capacités de
traitement afin de profiter de la baisse des prix canadiens du brut
lourd.

La production brute d’équivalent pétrole du secteur Amont était de
336 000 barils par jour, reflétant l’incidence des activités d’entretien
prévues. Le rétablissement à la suite de la panne de courant du 20 juin
au site de Syncrude se poursuit, la production partielle ayant été
rétablie en juillet, et le retour à la pleine production est prévu en
septembre. La compagnie a poursuivi ses activités visant à améliorer les
activités futures, notamment la construction afin d’ajouter une capacité
de concassage supplémentaire à Kearl et l’application échelonnée de la
nouvelle technologie de solvant à Cold Lake.

Au cours du trimestre, l’Impériale a renouvelé son programme d’achat
d’actions, ce qui lui a permis de racheter environ 40 millions d’actions
au cours des 12 mois se terminant le 26 juin 2019. Dans le cadre du
programme précédent qui a pris fin le 26 juin 2018, l’Impériale a
racheté 41 millions d’actions pour 1,6 milliard de dollars. Au cours de
la première moitié de 2018, l’Impériale a versé 1,4 milliard de dollars
à ses actionnaires sous forme d’achats d’actions et de dividendes. La
méthode de l’Impériale en matière de répartition du capital consiste à
maintenir un bilan solide, à verser un dividende fiable et croissant, à
investir dans des occasions de croissance exceptionnelles et à
distribuer l’excédent de trésorerie aux actionnaires au moyen de rachats
d’actions.

« Notre modèle de gestion offre des avantages concurrentiels distincts
qui sont difficiles à reproduire pour d’autres, » a ajouté M. Kruger. «
Nous mettons l’accent sur la mise en valeur de ces avantages afin de
maximiser les résultats commerciaux à court terme et la valeur à long
terme pour les actionnaires. »

Faits marquants du deuxième trimestre

  • Un bénéfice net de 196 millions de dollars, soit 0,24 dollar par
    action sur une base diluée,
    une augmentation de 273 millions de
    dollars par rapport au bénéfice net de 77 millions de dollars (soit
    0,09 dollar par action) au deuxième trimestre de 2017.
  • Le flux de trésorerie des activités d’exploitation s’est établi à
    859 millions de dollars,
    soit une hausse de 367 millions de
    dollars par rapport au deuxième trimestre de 2017.
  • Les dépenses en immobilisations et frais d’exploration ont totalisé
    284 millions de dollars,
    ce qui représente une augmentation
    de 141 millions de dollars par rapport au deuxième trimestre de 2017.
    Les dépenses continuent d’être axées sur le soutien des
    immobilisations et les projets annoncés précédemment. Les lignes
    directrices antérieures visant les dépenses en immobilisations pour
    l’exercice complet se situaient entre 1,5 milliard et 1,7 milliard de
    dollars. Les dépenses devraient maintenant se situer à l’extrémité
    inférieure de la fourchette.
  • Les dividendes versés et le rachat d’actions ont totalisé
    1 025 millions de dollars au deuxième trimestre de 2018
    ,
    dont le rachat d’environ 21,4 millions d’actions à un coût de
    893 millions de dollars. La hausse de rachat d’actions au deuxième
    trimestre reflète la modification apportée en avril afin d’augmenter
    la limite du nombre d’actions du programme qui a pris fin le
    26 juin 2018.
  • Le renouvellement du programme d’achat d’actions maintient
    l’engagement à offrir de la valeur aux actionnaires.
    En juin,
    l’Impériale a reçu l’approbation de la Bourse de Toronto pour
    poursuivre son programme permettant d’acheter jusqu’à cinq pour cent
    de ses actions ordinaires en circulation, soit environ 40 millions
    d’actions, au cours de la période de 12 mois se terminant le
    26 juin 2019. La capacité de la compagnie de générer des flux de
    trésorerie soutient sa capacité à distribuer aisément l’excédent de
    trésorerie aux actionnaires au moyen de rachats d’actions.
  • La production s’est établie en moyenne à 336 000 barils
    d’équivalent pétrole brut par jour,
    contre 331 000 barils par jour
    à la même période en 2017.
  • La production de bitume de Cold Lake s’est établie en moyenne à
    133 000 barils par jour
    en regard de 160 000 barils par
    jour au même trimestre en 2017. La baisse des volumes est
    principalement attribuable aux activités d’entretien prévu et au
    calendrier de production. L’Impériale a achevé ses premiers importants
    travaux d’entretien en trois ans à Cold Lake. Plus précisément, des
    travaux d’entretien prévu de 38 jours ont été achevés à l’installation
    de Maskwa, la deuxième en importance des cinq usines de Cold Lake. De
    plus, la production au cours du trimestre a été touchée par la mise en
    œuvre ultérieure d’une nouvelle technologie de récupération à base de
    solvants.
  • La production moyenne brute de bitume au site de Kearl s’est
    établie à 180 000 barils par jour au cours du trimestre

    (la part de l’Impériale se chiffrant à 128 000 barils), contre
    171 000 barils par jour (la part de l’Impériale se chiffrant à
    121 000 barils) pour la même période en 2017. La production a été
    réduite de 48 000 barils par jour (la part de l’Impériale se chiffrant
    à 34 000 barils) en raison des activités d’entretien prévu à l’une des
    deux usines. La compagnie a continué d’améliorer sa fiabilité au cours
    du trimestre, notamment en réalisant des travaux de construction pour
    ajouter une capacité de concassage supplémentaire. L’Impériale
    continue à tabler sur une production brute annuelle moyenne de
    200 000 barils par jour à Kearl en 2018.
  • La quote-part de la compagnie dans la production brute de Syncrude
    s’est élevée à 50 000 barils par jour,
    en hausse par
    rapport aux 27 000 barils par jour du deuxième trimestre 2017. La
    production du trimestre a été réduite d’environ 25 000 barils par jour
    (la part de l’Impériale) en raison des activités d’entretien prévu
    visant l’une de ses trois usines de cokéfaction. Le 20 juin, une panne
    de courant au site de Syncrude a entraîné la fermeture de toutes les
    unités de traitement. Les livraisons ont depuis repris et la pleine
    production est prévue à la mi-septembre.
  • Le débit moyen des raffineries était de 363 000 barils par jour,
    en hausse par rapport aux 358 000 barils par jour du deuxième
    trimestre 2017. L’utilisation des capacités de production a atteint
    86 %, en raison de l’impact des activités d’entretien prévu de
    72 jours à l’installation de Strathcona, lesquelles ont été achevées à
    la mi-juin. Excluant les activités d’entretien, l’utilisation de la
    capacité de raffinage se chiffrait à 94 % pour le trimestre. Les
    activités d’entretien prévu à Strathcona, les plus importantes de son
    histoire, ont eu un impact sur les résultats d’environ 250 millions de
    dollars par rapport au premier trimestre de 2018.
  • Les ventes de produits pétroliers se sont élevées à 510 000 barils
    par jour,
    en hausse par rapport aux 486 000 barils par jour du
    deuxième trimestre 2017. L’Impériale a réussi à s’approvisionner en
    produits en tirant parti de son réseau de raffinage, en accumulant des
    stocks et en effectuant des achats auprès de tiers pour approvisionner
    ses clients de façon fiable pendant les activités d’entretien prévu à
    sa raffinerie de Strathcona.
  • Le bénéfice du secteur Produits chimiques se chiffrait à
    78 millions de dollars, correspondant à des résultats trimestriels
    historiques,
    contre 64 millions de dollars pour la même période en
    2017. L’Impériale continue d’obtenir d’excellents résultats dans son
    secteur Produits chimiques grâce à une fiabilité élevée, à des charges
    d’alimentation concurrentielles et à des prix très fermes sur le
    marché.
  • Le plus grand camion de roulage autonome au monde a été déployé
    avec succès à Kearl.
    Dans le cadre d’un projet pilote en cours,
    l’Impériale et ses partenaires en matière de développement ont déplacé
    la première charge utile à l’aide d’un camion de roulage de 400 tonnes
    entièrement autonome en juin. C’est le plus gros camion autonome
    fonctionnant dans un environnement d’exploitation productive. Le
    programme d’essais de la compagnie vise à atteindre une flotte de sept
    camions autonomes d’ici la fin de l’année.
  • L’Impériale appuie les dirigeants autochtones au Women’s Forum
    Canada au G7
    La compagnie a parrainé une table ronde sur les
    réalisations et le leadership des femmes autochtones au Forum de
    femmes pour l’économie et la société qui s’est tenu à Toronto en mai.
    L’Impériale s’est engagée à promouvoir l’avancement des femmes au
    Canada et a investi plus de 2 millions de dollars dans des programmes
    de leadership au cours des cinq dernières années.

Comparaison des deuxièmes trimestres de 2018 et de 2017

Le bénéfice net de la compagnie au deuxième trimestre de 2018 se
chiffrait à 196 millions de dollars (soit 0,24 dollar par action sur une
base diluée), ce qui représente une hausse de 273 millions de dollars
comparativement à une perte nette de 77 millions de dollars (soit
0,09 dollar par action) pour la même période lors du dernier exercice.

Le secteur Amont a enregistré une perte nette de 6 millions de dollars,
contre une perte nette de 201 millions de dollars pour la même période
en 2017. L’amélioration des résultats reflète les conséquences de
l’augmentation des prix du pétrole brut au Canada d’environ 280 millions
de dollars, partiellement compensés par une hausse des redevances
d’environ 50 millions de dollars et des charges d’exploitation plus
élevées d’environ 50 millions de dollars, principalement liée aux
activités d’entretien prévu.

Le cours moyen du West Texas Intermediate (WTI) s’est établi en moyenne
à 67,91 USD par baril durant le deuxième trimestre 2018, contre
48,20 USD durant le même trimestre 2017. Western Canada Select (WCS)
s’est établi en moyenne à 48,81 USD par baril, contre 37,18 USD par
baril pour les mêmes périodes. Le différentiel entre WTI et WCS s’est
creusé à environ 19 USD par baril au deuxième trimestre de 2018,
comparativement à 11 USD par baril pour la même période en 2017.

Le dollar canadien valait en moyenne 0,78 USD au deuxième trimestre de
2018, soit une hausse de 0,04 USD par rapport au deuxième trimestre de
2017.

Les réalisations moyennes de l’Impériale en dollars canadiens pour le
bitume et le pétrole brut synthétique ont augmenté de manière
essentiellement conforme aux références nord-américaines, ajustées en
fonction des variations du taux de change et des coûts du transport. Le
prix moyen obtenu pour le bitume s’est élevé à 48,90 $ par baril durant
le deuxième trimestre 2018, ce qui correspond à une hausse de 10,68 $
par baril par rapport au deuxième trimestre 2017. Le prix moyen obtenu
pour le pétrole brut synthétique était de 86,31 $ par baril, soit une
augmentation de 21,24 $ pour la même période en 2017.

La production brute de bitume de Cold Lake s’est établie en moyenne à
133 000 barils par jour au deuxième trimestre, en regard de
160 000 barils par jour pour la même période de l’exercice précédent. La
baisse des volumes est principalement attribuable aux activités
d’entretien prévu et au calendrier de production.

La production moyenne brute de bitume à Kearl s’est établie à
180 000 barils par jour au cours du deuxième trimestre (la part de
l’Impériale se chiffrant à 128 000 barils), contre 171 000 barils par
jour (la part de l’Impériale se chiffrant à 121 000 barils) lors du
deuxième trimestre de 2017. L’augmentation de la production est
principalement attribuable à l’optimisation des activités d’extraction,
partiellement compensée par les activités d’entretien prévu.

La quote-part de la compagnie dans la production brute de Syncrude fut
en moyenne de 50 000 barils par jour, en hausse par rapport aux
27 000 barils par jour du deuxième trimestre 2017. L’augmentation de la
production s’explique par le fait qu’aucun incendie n’a été déclaré à
l’unité de valorisation Syncrude de Mildred Lake comme celui survenu en
mars 2017, partiellement compensée par les activités d’entretien prévu
et une panne de courant survenue le 20 juin 2018, lesquels ont entraîné
l’arrêt complet de toutes les unités de traitement pour le reste du
deuxième trimestre. Le rétablissement à la suite de la panne de courant
se poursuit, la production partielle ayant été rétablie en juillet, et
le retour à la pleine production est prévu en septembre.

Le bénéfice net du secteur Aval était de 201 millions de dollars au
deuxième trimestre, contre 78 millions de dollars au deuxième trimestre
de 2017. Les bénéfices ont augmenté principalement en raison de
l’élargissement des marges d’environ 390 millions de dollars,
contrebalancé par les répercussions de l’augmentation des activités
d’entretien prévu d’environ 200 millions de dollars et l’incidence de
l’appréciation du dollar canadien.

Le débit moyen des raffineries était de 363 000 barils par jour, en
hausse par rapport aux 358 000 barils par jour du deuxième
trimestre 2017. L’utilisation des capacités de production a augmenté à
86 %, contre 85 % pour la même période en 2017.

Les ventes de produits pétroliers se sont élevées à 510 000 barils par
jour, en hausse par rapport aux 486 000 barils par jour du deuxième
trimestre 2017. La croissance des ventes est toujours soutenue par
l’optimisation de l’ensemble de la chaîne de valeur du secteur Aval et
le renforcement des capacités logistiques de l’Impériale.

Le bénéfice net du secteur Produits chimiques se chiffrait à 78 millions
de dollars au deuxième trimestre, correspondant à des résultats
trimestriels historiques. Les bénéfices ont augmenté de 14 millions de
dollars par rapport à la même période en 2017, tirant parti de
l’augmentation des volumes et de l’élargissement des marges.

Les Comptes non sectoriels et autres ont affiché un solde de 77 millions
de dollars au deuxième trimestre, comparativement à un solde 18 millions
de dollars pour la période correspondante de 2017, attribuable en grande
partie à la hausse des charges liées à la rémunération à base d’actions.
De plus, dans le cadre de l’entrée en vigueur de la mise à jour du
Financial Accounting Standards Board (FASB), intitulée Compensation –
Retirement Benefits (Topic 715): Improving the Presentation of
Net Periodic Pension Cost and Net Periodic Postretirement Benefit Cost
,
à compter du 1er janvier 2018, les comptes non sectoriels et
autres comprennent les dépenses associées à la retraite non liée aux
services et aux avantages à la retraite. Avant 2018, la majorité de ces
coûts étaient alloués aux différents secteurs d’exploitation.

Les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation se sont
élevés à 859 millions de dollars au deuxième trimestre, contre
367 millions de dollars pour la période correspondante de 2017,
reflétant des revenus plus élevés.

Les activités d’investissement ont donné lieu à des sorties nettes de
379 millions au deuxième trimestre, comparativement à 281 millions au
cours de la période correspondante de 2017.

Les activités de financement ont généré des décaissements de
1 032 millions de dollars au deuxième trimestre, contre 260 millions de
dollars au deuxième trimestre 2017. Les dividendes payés au cours du
deuxième trimestre de 2018 s’élevaient à 132 millions de dollars. Les
dividendes par action versés au deuxième trimestre se sont élevés à
0,16 $ comparativement à 0,15 $ pour la période correspondante de 2017.
Au cours du deuxième trimestre, la compagnie a racheté environ
21,4 millions d’actions pour un total approximatif de 893 millions de
dollars.

Le solde de trésorerie s’élevait à 873 millions de dollars au
30 juin 2018, comparativement à 623 millions de dollars à la fin du
deuxième trimestre de 2017.

Le 27 avril 2018, la compagnie a annoncé dans un communiqué de presse
qu’elle avait reçu de la Bourse de Toronto l’autorisation de modifier
l’offre publique de rachat dans le cours normal des activités pour
augmenter le nombre d’actions ordinaires qu’elle peut acheter. En vertu
de cette modification, le nombre d’actions ordinaires éligibles au
rachat a augmenté jusqu’à un maximum de 42 326 545 actions ordinaires
entre le 27 juin 2017 et le 26 juin 2018.

Le 22 juin 2018, la compagnie a annoncé dans un communiqué de presse
qu’elle avait reçu de la Bourse de Toronto l’autorisation de lancer une
offre publique de rachat ordinaire et qu’elle poursuivait son programme
existant de rachat d’actions. Le programme permet à la compagnie de
racheter jusqu’à un maximum de 40 391 196 actions ordinaires entre le
27 juin 2018 et le 26 juin 2019. Ce maximum comprend les actions
rachetées dans le cadre de l’offre publique de rachat ordinaire et à la
société ExxonMobil Corporation, une opération réalisée concurremment,
mais hors de l’offre publique de rachat ordinaire. Dans le passé, la
société ExxonMobil Corporation avait informé la compagnie qu’elle avait
l’intention de conserver la propriété d’environ 69,6 % du capital. Le
programme prendra fin le 26 juin 2019 ou lorsque la compagnie aura
racheté le maximum autorisé d’actions. À l’heure actuelle, la compagnie
prévoit d’effectuer ses rachats d’actions de manière uniforme pendant la
durée du programme. Les plans de rachat peuvent être modifiés à tout
moment sans préavis.

Faits saillants du semestre

  • Le bénéfice net s’est élevé à 712 millions de dollars, une
    augmentation par rapport au bénéfice net de 256 millions de dollars au
    cours de l’exercice précédent.
  • Le bénéfice net par action sur une base diluée a été de 0,86 $, une
    hausse par rapport au bénéfice net par action ordinaire de 0,30 $ en
    2017.
  • Les flux de trésorerie générés par les activités d’exploitation se
    sont élevés à 1 844 millions de dollars, contre 846 millions de
    dollars en 2017.
  • La moyenne de la production de pétrole brut équivalent a été de
    353 000 barils par jour, comparativement à 354 000 barils par jour en
    2017.
  • Le débit moyen des raffineries était de 386 000 barils par jour, en
    hausse par rapport à 378 000 barils par jour en 2017.
  • Plus de 1,4 milliard de dollars a été versé aux actionnaires sous la
    forme d’achats d’actions et de dividendes.
  • Les dividendes par action déclarés depuis le début de l’exercice se
    sont élevés à 0,35 $, en hausse de 0,04 $ par action par rapport à
    2017.
  • Le secteur Produits chimiques a réalisé un bénéfice net record de
    151 millions de dollars au premier semestre.

Comparaison du premier semestre de 2018 et de 2017

Le bénéfice net des six premiers mois 2018 s’est établi à 712 millions
de dollars ou 0,86 $ par action sur une base diluée, une augmentation de
456 millions de dollars comparativement à un bénéfice net de
256 millions de dollars ou 0,30 $ par action pour le premier semestre de
2017.

Le secteur Amont a enregistré une perte nette de 50 millions de dollars
au cours du premier semestre de 2018, contre une perte nette de
287 millions de dollars durant la même période en 2017. L’amélioration
des résultats reflète les conséquences de l’augmentation des prix du
pétrole brut au Canada d’environ 350 millions de dollars, partiellement
compensés par des charges d’exploitation plus élevées d’environ
50 millions, principalement liées aux activités d’entretien prévu. Les
résultats reflètent également l’incidence d’une hausse des redevances et
l’appréciation du dollar canadien par rapport à l’exercice précédent.

West Texas Intermediate s’est établi en moyenne à 65,44 USD par baril au
cours du premier semestre de l’année 2018, contre 49,96 USD par baril au
cours de l’exercice précédent. Western Canada Select s’est établi en
moyenne à 43,74 USD par baril, contre 37,22 USD par baril pour les mêmes
périodes. Le différentiel entre WTI et WCS s’est creusé à environ 22 USD
par baril au cours du premier semestre 2018, comparativement à 13 USD
pour la même période en 2017.

Le dollar canadien valait en moyenne 0,78 USD au cours du premier
semestre de 2018, soit une baisse de 0,03 USD par rapport à la même
période en 2017.

Les réalisations moyennes de l’Impériale en dollars canadiens pour le
bitume et le pétrole brut synthétique ont augmenté de manière
essentiellement conforme aux références nord-américaines, ajustées en
fonction des variations du taux de change et des coûts du transport. Le
prix moyen obtenu pour le bitume s’est élevé à 41,84 $ par baril pour le
premier semestre de l’année 2018, soit une augmentation de 4,63 $ par
baril par rapport à 2017. Le prix moyen obtenu pour le pétrole brut
synthétique était de 81,24 $ par baril, soit une augmentation de 14,24 $
pour la même période en 2017.

La production brute de bitume de Cold Lake s’est élevée en moyenne à
143 000 barils par jour durant le premier semestre 2018, en regard de
159 000 barils par jour pour la même période de l’exercice précédent. La
baisse des volumes est principalement attribuable aux activités
d’entretien prévu et au calendrier de production.

La production moyenne brute de bitume à Kearl s’est établie à
181 000 barils par jour au cours du premier semestre de 2018 (la part de
l’Impériale se chiffrant à 128 000 barils), contre 177 000 barils par
jour (la part de l’Impériale se chiffrant à 125 000 barils) pour la même
période en 2017.

Au cours du premier semestre de 2018, la quote-part de la compagnie dans
la production brute de Syncrude s’est élevée en moyenne à 57 000 barils
par jour, en hausse par rapport aux 46 000 barils par jour pour la
période correspondante de 2017.

Contacts

Imperial Oil Limited
Investor relations
587-476-4743
ou
Media
relations
587-476-7010

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