Press release

Selon un rapport de la Geneva Association, les taux d’intérêt durablement faibles créent un vent contraire complexe mais gérable pour les assureurs-vie

0
Sponsorisé par GlobeNewsWire

ZURICH–(BUSINESS WIRE)–Les effets des taux d’intérêt durablement faibles sur les assureurs-vie
représentent un vent contraire complexe mais gérable pour le secteur
alors qu’il continue à adapter son modèle d’entreprise en réponse à
cela, c’est ce que révèle un nouveau rapport de recherche publié
aujourd’hui par la Geneva Association, le principal groupe de réflexion
international du secteur de l’assurance.

L’étude, intitulée The ‘Low for Long’ Challenge: Socio-economic
implications and the life insurance industry’s response
(Le défi «
durablement bas » : implications socioéconomiques et la réponse du
secteur de l’assurance-vie) et basée sur les observations de hauts
dirigeants du secteur, analyse l’impact qu’ont les bas taux d’intérêt
sur les assureurs-vie, leurs clients et la société. Le contexte élargi
est centré sur la question de savoir si une période prolongée de taux
d’intérêt bas est susceptible d’affecter le rôle socioéconomique joué
par les assureurs-vie depuis de nombreuses années.

Anna Maria D’Hulster, secrétaire générale de la Geneva Association, a
déclaré : « Le rôle de l’assurance-vie consistant à aider les
particuliers à avoir l’esprit tranquille et une sécurité financière est
important. Dans un environnement de faibles taux d’intérêt, les
assureurs ont un rôle encore plus grand à jouer alors que les
particuliers peuvent avoir des difficultés à trouver pour leur retraite
des solutions fiables offrant des rendements appropriés. Les
assureurs-vie ont fait de grands progrès pour relever les défis actuels
exposés par l’environnement macrofinancier actuel, et les leaders du
secteur sont raisonnablement confiants quant au fait que l’assurance-vie
continuera de jouer son rôle socioéconomique. »

Des taux d’intérêt faibles pénalisent l’épargne-retraite individuelle et
peuvent amener les assureurs à retirer certains produits
d’épargne-retraite (en particulier ceux offrant des garanties de
rendement) sur lesquels les clients s’appuyaient auparavant, mais qui ne
peuvent plus être adéquatement tarifés dans l’environnement
macrofinancier actuel. Dans le même temps, il est de plus en plus
probable que les gouvernements vont devoir réduire les prestations de
retraite publiques qui étaient octroyées par le passé. Ces facteurs
combinés mettent sur le devant de la scène le rôle socioéconomique des
assureurs-vie.

Daniel Hofmann, conseiller en chef pour l’économie de l’assurance à la
Geneva Association et principal auteur du rapport, a commenté : « Dans
nos conversations avec des cadres supérieurs, ils ont aussi précisé que
les clients doivent voir de la valeur dans les offres de produits. La
non atteinte de cet objectif mettrait en danger le rôle socioéconomique
de l’assurance-vie à un moment critique, alors que les sociétés
vieillissantes ont de plus en plus besoin d’accéder à des solutions
fiables et durables pour la retraite. »

Les cadres interrogés ont mis en exergue trois priorités clés dans le
cadre de la réponse du secteur à l’environnement de faibles taux
d’intérêt :

  • La gestion des affaires en cours, dont l’objectif est de
    créer davantage de valeur pour les clients et les autres parties
    prenantes en gérant mieux les entreprises qui peuvent être dans les
    livres depuis des décennies.
  • Une réduction des coûts, où l’un des principaux défis
    résulte d’anciens systèmes informatiques compliqués, construits il y a
    plusieurs décennies. Les personnes interrogées pensent que les
    nouvelles technologies représentent une opportunité pour améliorer
    l’efficacité économique des assureurs-vie.
  • Un nouveau mix d’activités, avec l’objectif de
    rééquilibrer le portefeuille avec des produits mieux adaptés à
    l’actuel environnement de taux d’intérêt.

Le cœur du rapport est basé sur des entretiens approfondis avec 18
cadres supérieurs issus d’importants assureurs-vie, actifs à l’échelle
mondiale, complétés par une enquête quantitative à laquelle ont répondu
tous les participants. Le rapport a par ailleurs été complété avec des
statistiques de l’industrie et des données de bilan provenant d’un
échantillon des cinq plus importants assureurs-vie sur six marchés clés
(Allemagne, France, Italie, Japon, États-Unis et Royaume-Uni).

FIN

Rapport complet : The
‘Low for Long’ Challenge: Socio-economic implications and the life
insurance industry’s response (Le défi « durablement bas » :
implications socioéconomiques et la réponse du secteur de
l’assurance-vie)

Document d’information 1 : How
the life insurance industry is tackling a ‘manageable headwind’ (Comment
le secteur de l’assurance-vie relève le défi d’un « vent contraire
gérable »)

Document d’information 2 : Low
interest rates may place the life insurance industry’s socio-economic
role at risk (Les faibles taux d’intérêt peuvent mettre en danger le
rôle socioéconomique du secteur de l’assurance-vie)

Infographie
: The reaction of life insurers to low interest rates (La réaction des
assureurs-vie aux faibles taux d’intérêt)

Interviews
avec Anna Maria D’Hulster, secrétaire générale, et Daniel Hofmann,
principal auteur du rapport

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Geneva Association
Daniel Perez-Whitaker
Directeur des
communications
+41 44 200 4906
daniel_perezwhitaker@genevaassociation.org
ou
Isabel
Barratt
Responsable des communications
+41 44 200 4996
isabel_barratt@genevaassociation.org