Press release

Takeda présentera les données relatives à l’ALUNBRIG™ (brigatinib) de l’étude pivot ALTA de Phase 2 à l’occasion de la 18ème Conférence mondiale du cancer du poumon

0
Sponsorisé par GlobeNewsWire

Les présentations comprendront des données mises à jour et
des résultats d’analyses supplémentaires pour le cancer du poumon non à
petites cellules ALK+ réfractaire au crizotinib –

− Les données illustrent le renforcement des activités d’oncologie et
la diversification du portefeuille de projets de Takeda vers les tumeurs
solides –

CAMBRIDGE, Massachusetts & OSAKA, Japon–(BUSINESS WIRE)–Takeda Pharmaceutical Company Limited (TSE: 4502) a annoncé aujourd’hui
que la société présentera quatre abstracts sponsorisés, y compris une
présentation orale, lors de la 18ème Conférence mondiale du
cancer du poumon (WCLC) de l’Association internationale pour l’étude du
cancer du poumon (IASLC), du 15 au 18 octobre, à Yokohama, au Japon.
Cette année, les présentations souligneront les progrès réalisés par
Takeda dans le développement de l’ALUNBRIGTM (brigatinib),
un inhibiteur de kinase du lymphome anaplasique (ALK) dans un
cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC). S’engageant sans
compromis pour faire avancer la recherche et répondre aux besoins des
patients, Takeda aspire à mettre au point des traitements optimaux pour
les personnes atteintes d’un CPNPC.

« Les présentations de la conférence 2017 étayent le rôle joué par
l’ALUNBRIG comme thérapie ciblée pour les patients atteints d’un CPNPC
avancé ALK positif », déclare Jesus Gomez Navarro, D.M., vice-président,
chef de la recherche et du développement en oncologie clinique chez
Takeda. « Tout prochainement présentées à la WCLC, les données mises à
jour de l’étude pivot ALTA renforcent, avec un suivi plus long, les
conclusions cliniques précédemment publiées. Nous nous engageons à
poursuivre les activités de recherche et de développement en matière de
CPNPC afin d’améliorer la vie de plus de 30 000 patients auxquels on
diagnostique un CPNPC ALK+ chaque année dans le monde. »

Durant la présentation orale, Takeda présentera les données mises à jour
de l’étude pivot ALTA (ALK in Lung Cancer Trial
of AP26113) de Phase 2, soulignant l’efficacité et
l’innocuité de l’ALUNBRIG avec deux schémas posologiques distincts chez
les patients atteints d’un CPNPC ALK+ en stade avancé, et qui sont
devenus réfractaires au crizotinib. Des sous-analyses complémentaires
d’efficacité et d’innocuité seront également présentées.

Les quatre abstracts sponsorisés par Takeda acceptés pour présentation à
la WCLC 2017 sont les suivants:
Note: tous les horaires indiqués
sont à l’heure du Japon.

À propos de l’étude ALTA Trial

L’étude ALTA (ALK in Lung Cancer Trial of AP26113)
de Phase 2 portant sur le brigatinib chez l’adulte est un essai en
cours, à deux groupes, ouverte et multicentrique, comprenant 222
patients atteints de CPNPC ALK+ à un stade local avancé ou métastatique,
pour lesquels le crizotinib n’est plus efficace. Les patients ont soit
reçu 90 mg d’ALUNBRIG en dose quotidienne unique (n=112), soit 180 mg en
dose quotidienne unique après une période de préparation de sept jours à
90 mg en dose quotidienne unique (n=110). La principale mesure
d’efficacité est le taux de réponse globale (TRG) confirmé, conformément
au critère d’évaluation de la réponse pour les tumeurs solides (RECIST
v1.1), et évalué par un comité d’examen indépendant. Évaluées par une
équipe de chercheurs, les mesures d’efficacité supplémentaires sont le
TRG, la durée de la réponse (DR), le TRG intracrânien, et la DR
intracrânienne.

À propos du CPNPC ALK+

Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est la forme la plus
commune de cancer du poumon, représentant approximativement 85 pour cent
des 222 500 nouveaux cas de cancer du poumon diagnostiqués chaque année
aux États-Unis, d’après l’American Cancer Society. Des études génétiques
indiquent que des réarrangements chromosomiques dans la kinase du
lymphome anaplasique (ALK) sont des moteurs clefs dans un sous-ensemble
de patients atteints de CPNPC. Environ deux à huit pour cent des
patients atteints de CPNPC présentent un réarrangement du gène ALK.

Le système nerveux central (SNC) est un site fréquent pour la
progression du CPNPC ALK+, avec des métastases cérébrales présentent
chez 70 pour cent des patients après un traitement au crizotinib.

À propos de l’ALUNBRIG® (brigatinib)

ALUNBRIG est un médicament anticancéreux ciblé découvert par ARIAD
Pharmaceuticals, Inc., qui a été acquis par Takeda en février 2017.
ALUNBRIG a récemment reçu une approbation accéléré de la Food and Drug
Administration (FDA) américaine pour les patients atteints de CPNPC ALK+
dont les tumeurs sont devenues résistantes au crizotinib ou qui y sont
intolérants. Cette indication est approuvé dans le cadre de la procédure
d’approbation accélérée sur la base du taux de réponse tumorale et de la
durée de la réponse. La prolongation de l’approbation pour cette
indication pourrait dépendre de la vérification et de la description de
l’avantage clinique lors d’un essai confirmatoire.

ALUNBRIG a reçu la désignation de thérapie pionnière de la FDA pour le
traitement des patients atteints de CPNPC ALK+ dont les tumeurs sont
résistantes au crizotinib, et a reçu la désignation de médicament
orphelin de la FDA pour le traitement du CPNPC ALK+, ROS1+ et CPNPC
EGFR+. Une demande d’autorisation de commercialisation (DAC) pour
l’ALUNBRIG a été déposée auprès de l’Agence européenne des médicaments
(EMA) en février 2017.

Aux États-Unis, le schéma posologique recommandé pour l’ALUNBRIG est le
suivant:

  • 90 mg par voie orale, prise quotidienne pendant les 7 premiers jours;
  • si la prise de 90 mg est tolérée durant les 7 premiers jours,
    augmenter la dose à 180 mg par voie orale en prise quotidienne.

Le programme de développement clinique ALTA consolide l’engagement
continu de Takeda en faveur de thérapies innovantes pour les patients
atteints de CPNPC ALK+ à l’échelle mondiale, ainsi que pour les
professionnels de la santé qui les soignent. En plus de l’étude ALTA de
Phase 1/2 et de Phase 2 en cours, le brigatinib fait également l’objet
d’une évaluation dans l’étude ALTA 1L de Phase 3 pour tester son
efficacité et innocuité en comparaison avec le crizotinib chez les
patients atteints d’un CPNPC ALK+ en stade local avancé ou métastatique,
n’ayant pas encore suivi de traitement avec un inhibiteur d’ALK.

Pour en savoir plus sur l’ALUNBRIG, veuillez visiter www.ALUNBRIG.com ou
appeler le 1 844 A1POINT (1 844 217 6468). Pour des renseignements
complémentaires sur les essais cliniques du brigatinib, veuillez visiter www.clinicaltrials.gov.

INFORMATIONS IMPORTANTES SUR LA SÉCURITÉ

MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS

Maladie pulmonaire interstitielle (MPI) / pneumonite: des
réactions indésirables graves, mettant en jeu le pronostic vital ou
mortelles, de nature pulmonaire et évoquant la maladie pulmonaire
interstitielle (MPI)/pneumonite, sont survenues avec l’ALUNBRIG. Dans
l’essai ALTA (ALTA), une MPI/pneumonite est survenue chez 3,7 % des
patients du groupe traité à des doses de 90 mg (dose quotidienne unique
de 90 mg) et chez 9,1 % des patients du groupe traité par des doses
comprises entre 90 et 180 mg (dose quotidienne unique de 180 mg après
une période préparatoire de sept jours à 90 mg en dose quotidienne
unique). Des réactions indésirables évoquant une possible MPI/pneumonite
sont survenues précocement (dans un délai de 9 jours après le début de
la prise d’ALUNBRIG; délai d’apparition médian de 2 jours) chez 6,4 %
des patients, des réactions de grade 3 ou 4 survenant chez 2,7 % d’entre
eux. Surveiller l’apparition ou l’aggravation de symptômes respiratoires
(par ex. dyspnée, toux, etc.), en particulier durant la première semaine
de prise d’ALUNBRIG. Ne pas administrer d’ALUNBRIG aux patients
présentant des symptômes respiratoires nouveaux ou s’aggravant, et les
évaluer rapidement pour détecter une MPI/pneumonite ou d’autres causes
de symptômes respiratoires (ex. embolie pulmonaire, progression
tumorale, et pneumonie infectieuse). Pour une MPI/pneumonite de grade 1
ou 2, il est possible de reprendre l’administration d’ALUNBRIG en
réduisant la dose, après retour au niveau de base, ou de cesser
définitivement l’administration d’ALUNBRIG. Cesser définitivement
l’administration d’ALUNBRIG en cas de MPI/pneumonite de grade 3 ou 4, ou
de réapparition d’une MPI/pneumonite de grade 1 ou 2.

Hypertension: dans l’essai ALTA, une hypertension a été
signalée chez 11% des patients du groupe traité par doses de 90 mg ayant
reçu de l’ALUNBRIG et chez 21% des patients du groupe traité par doses
comprises entre 90 et 180 mg. Une hypertension de niveau 3 s’est
produite chez 5,9% des patients au total. Surveiller la tension
artérielle avant tout traitement par ALUNBRIG. Surveiller la tension
artérielle au bout de 2 semaines, puis au moins une fois par mois au
cours du traitement. Cesser l’administration d’ALUNBRIG en cas
d’hypertension de niveau 3 malgré un traitement antihypertenseur
optimal. Après retour au, ou amélioration du, niveau de départ,
reprendre l’administration d’ALUNBRIG en réduisant la dose. Envisager un
arrêt définitif du traitement à l’ALUNBRIG en cas d’hypertension de
niveau 4 ou de récurrence de l’hypertension de niveau 3. À utiliser avec
prudence en cas d’administration d’ALUNBRIG en combinaison avec des
agents antihypertenseurs entraînant une bradycardie.

Bradycardie: une bradycardie peut subvenir avec l’ALUNBRIG.
Lors de l’essai ALTA, des rythmes cardiaques inférieurs à 50 battements
par minute (bpm) se sont produits chez 5,7% des patients du groupe
traités par des doses de 90 mg et chez 7,6% de ceux du groupe traité par
des doses comprises entre 90 et 180 mg. Une bradycardie de niveau 2
s’est produite chez 1 (0,9%) patient du groupe 90 mg. Surveiller la
fréquence cardiaque et la tension artérielle pendant le traitement à
l’ALUNBRIG. Surveiller plus fréquemment les patients si l’utilisation
concomitante d’un médicament connu pour entraîner une bradycardie ne
peut être évitée. En cas de bradycardie symptomatique, cesser
l’administration d’ALUNBRIG et évaluer les médicaments concomitants
connus pour entraîner une bradycardie. Si un de ces médicaments est
identifié et son administration interrompue ou ajustée, reprendre
l’administration d’ALUNBRIG au même dosage après la disparition de la
bradycardie symptomatique; sinon, réduire la dose d’ALUNBRIG après
disparition de la bradycardie symptomatique. Cesser l’administration
d’ALUNBRIG en cas de bradycardie potentiellement mortelle si aucun
médicament concomitant, contribuant à celle-ci, n’est identifié.

Troubles visuels: durant l’étude ALTA, des réactions
indésirables conduisant à des troubles visuels, notamment une vision
floue, une diplopie et une acuité visuelle réduite, ont été signalées
chez 7,3% des patients traités par ALUNBRIG du groupe recevant des doses
de 90 mg et chez 10% des patients du groupe recevant des doses comprises
entre 90 et 180 mg. Un œdème maculaire de niveau 3 et une cataracte se
sont produits chez un patient du groupe traité par des doses comprises
entre 90 et 180 mg. Conseiller aux patients de signaler tout symptôme
visuel. Cesser l’administration d’ALUNBRIG et procéder à une évaluation
ophtalmologique des patients présentant des symptômes visuels nouveaux
ou s’aggravant, de niveau 2 ou d’une gravité supérieure. Après retour du
niveau de gravité 2 ou 3 au niveau 1 ou au niveau de base, reprendre
l’administration d’ALUNBRIG en réduisant la dose. Cesser définitivement
le traitement à l’ALUNBRIG en cas de troubles visuels de niveau 4.

Élévation de la créatine phosphokinase (CPK): durant l’étude
ALTA, une élévation de la créatine phosphokinase (CPK) s’est produite
chez 27% des patients recevant de l’ALUNBRIG du groupe traité par des
doses de 90 mg et chez 48% des patients du groupe traité par des doses
comprises entre 90 mg et 180 mg. L’incidence d’élévation de la créatine
phosphokinase de niveau 3-4 était de 2,8% dans le premier groupe, contre
12% dans le second. Une réduction de la dose en raison d’une élévation
de la créatine phosphokinase a été réalisée chez 1,8% des patients du
groupe traité par des doses de 90 mg et chez 4,5% de ceux traités par
des doses comprises entre 90 et 180 mg. Conseiller aux patients de
signaler toute douleur, sensibilité ou faiblesse musculaire inexpliquée.
Surveiller les taux de créatine phosphokinase pendant le traitement par
ALUNBRIG. Cesser l’administration d’ALUNBRIG en cas d’élévation du taux
de créatine phosphokinase de niveau 3 ou 4. Après résolution ou retour
au niveau 1 ou de base, reprendre l’administration d’ALUNBRIG, selon le
même dosage ou un dosage réduit.

Élévation du taux d’enzymes pancréatiques: durant l’essai
ALTA, une élévation de l’amylase s’est produite chez 27% des patients du
groupe traité par doses de 90 mg, contre 39% des patients du groupe
traité par des doses comprises entre 90 et 180 mg. Une élévation du taux
de lipase s’est produite chez 21% des patients du premier groupe, contre
45% de ceux du second. Une élévation du taux d’amylase de niveau 3 ou 4
s’est produite chez 3,7% des patients du premier groupe, contre 2,7% de
ceux du second. Une élévation du taux de lipase de niveau 3 ou 4 s’est
produite chez 4,6% des patients du premier groupe, contre 5,5% de ceux
du second. Surveiller le taux de lipase et d’amylase pendant le
traitement par ALUNBRIG. Cesser l’administration d’ALUNBRIG en cas
d’élévation du taux d’enzymes pancréatiques de niveau 3 ou 4. Après
résolution ou retour au niveau 1 ou de base, reprendre l’administration
d’ALUNBRIG, selon le même dosage ou un dosage réduit.

Hyperglycémie: durant l’essai ALTA, 43% des patients ayant reçu
de l’ALUNBRIG ont souffert d’une hyperglycémie nouvelle et aggravante.
Un hyperglycémie de niveau 3, basée sur une évaluation de laboratoire
des niveaux de glycémie à jeun, s’est produite chez 3,7% des patients.
Deux patients sur 20 (10%) atteints de diabète ou d’intolérance au
glucose au niveau de base ont nécessité une administration d’insuline
durant le traitement par ALUNBRIG. Évaluer la glycémie à jeun avant
l’administration d’ALUNBRIG et la surveiller périodiquement par la
suite. Débuter ou optimiser l’administration de médicaments
anti-hyperglycémiques, en fonction des besoins. Si un contrôle
hyperglycémique approprié ne peut être obtenu avec une gestion médicale
optimale, cesser l’administration d’ALUNBRIG jusqu’à obtention d’un
contrôle hyperglycémique approprié, et envisager la réduction du dosage
d’ALUNBRIG ou l’arrêt définitif de l’administration d’ALUNBRIG.

Toxicité embryonnaire et fœtale: sur la base de son
mécanisme d’action et des résultats obtenus sur des animaux, ALUNBRIG
peut nuire au fœtus en cas d’administration à des femmes enceintes. Il
n’existe pas de données cliniques sur l’utilisation d’ALUNBRIG chez les
femmes enceintes. Informer les femmes enceintes du risque potentiel pour
le fœtus. Conseiller aux femmes en âge de procréer d’utiliser un moyen
de contraception non-hormonal efficace durant le traitement par ALUNBRIG
et pendant au moins 4 mois après l’administration de la dose finale.
Conseiller aux hommes ayant des partenaires féminins en âge de procréer
d’utiliser un moyen de contraception efficace durant le traitement et
pendant au moins 3 mois après l’administration de la dernière dose
d’ALUNBRIG.

RÉACTIONS INDÉSIRABLES

Des réactions indésirables graves se sont produites chez 38% des
patients du groupe traité par des doses de 90 mg, contre 40% de ceux du
groupe traité par des doses comprises entre 90 et 180 mg. Les réactions
indésirables graves les plus courantes étaient la pneumonie (5,5% au
total, 3,7% dans le premier groupe, contre 7,3% dans le second groupe)
et MPI/pneumonite (4,6% au total, 1,8% dans le premier groupe, contre
7,3% dans le second groupe). Des réactions indésirables mortelles se
sont produites chez 3,7% des patients, sous la forme de pneumonie (2
patients), de décès soudain, de dyspnée, d’insuffisance respiratoire,
d’embolie pulmonaire, de méningite bactérienne et d’infection urinaire
(1 patient pour chaque cas).

Les réactions indésirables les plus courantes (≥25%) chez les patients
du groupe traité par doses de 90 mg étaient la nausée (33%), la fatigue
(29%), la céphalée (28%) et la dyspnée (27%); contre la nausée (40%), la
diarrhée (38%), la fatigue (36%), la toux (34%) et la céphalée (27%)
dans le groupe de patients traités par des doses comprises entre 90 et
180 mg.

INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES

Inhibiteurs du CYP3A: éviter l’utilisation
concomitante d’ALUNBRIG avec de puissants inhibiteurs du CYP3A. Éviter
les pamplemousses et le jus de pamplemousse, susceptibles d’augmenter
également les concentrations plasmatiques de brigatinib. Si
l’utilisation concomitante d’un puissant inhibiteur du CYP3A ne peut
être évitée, réduire la dose d’ALUNBRIG.

Inducteurs du CYP3A: éviter l’utilisation
concomitante d’ALUNBRIG avec de puissants inducteurs du CYP3A.

Substrats du CYP3A: l’administration
concomitante d’ALUNBRIG avec des substrats du CYP3A, y compris des
contraceptifs hormonaux, peut provoquer une réduction des concentrations
et une perte d’efficacité des substrats du CYP3A.

UTILISATION CHEZ DES POPULATIONS SPÉCIFIQUES

Grossesse: ALUNBRIG peut nuire au fœtus.
Informer les femmes en âge de procréer du risque potentiel pour le fœtus.

Allaitement: il n’existe pas de données relatives à la
sécrétion du brigatinib dans le lait humain, ni à ses effets sur le
nourrisson allaité ou la production de lait. En raison des potentielles
réactions indésirables pour le nourrisson allaité, conseiller aux femmes
allaitantes de ne pas allaiter durant un traitement par ALUNBRIG.

Femmes et hommes en âge de procréer:

Contraceptionconseiller aux
femmes en âge de procréer d’utiliser un moyen de contraception non
hormonal efficace durant un traitement par ALUNBRIG, et pendant au moins
4 mois après l’administration de la dernière dose. Conseiller aux hommes
ayant des partenaires féminins en âge de procréer d’utiliser un moyen de
contraception efficace durant un traitement par ALUNBRIG, et pendant au
moins 3 mois après l’administration de la dernière dose.

Stérilité: ALUNBRIG peut provoquer une
réduction de la fertilité chez les hommes.

Utilisation pédiatrique: l »innocuité et l’efficacité
d’ALUNBRIG chez les patients pédiatriques n’ont pas été établies.

Utilisation gériatrique: les études cliniques sur ALUNBRIG ne
comprenaient pas un nombre suffisant de patients âgés de 65 ans ou plus
qui aurait permis de déterminer une éventuelle réponse distincte de leur
part, en comparaison avec des patients plus jeunes. Sur les 222 patients
de l’essai ALTA, 19,4 % avaient entre 65 et 74 ans et 4,1 % – 75 ans ou
plus. Aucune différence cliniquement pertinente quant à l’innocuité et à
l’efficacité n’a été constatée entre les patients ≥ 65 ans et les
patients plus jeunes.

Insuffisance hépatique ou rénale: aucun ajustement de la
dose n’est recommandé pour les patients présentant une légère
insuffisance hépatique ou une insuffisance rénale légère ou modérée.
L’innocuité d’ALUNBRIG chez les patients atteints d’une insuffisance
hépatique modérée ou grave, ou d’une insuffisance rénale grave, n’a pas
été étudiée.

Retrouvez les informations posologiques complètes de l’ALUNBRIG à
l’adresse
www.ALUNBRIG.com

À propos de Takeda Pharmaceutical Company

Takeda Pharmaceutical Company Limited est une société pharmaceutique
mondiale axée sur la recherche et le développement, dont la mission est
d’améliorer la santé et l’avenir des patients en traduisant la science
en médicaments susceptibles de changer la vie. Takeda concentre ses
efforts de R&D sur les domaines thérapeutiques de l’oncologie, de la
gastroentérologie et du système nerveux central, ainsi que sur les
vaccins. Takeda réalise sa R&D à la fois en interne et avec des
partenaires en vue de se maintenir à l’avant-garde de l’innovation. Ses
nouveaux produits innovants, notamment en oncologie et en
gastroentérologie, ainsi que sa présence sur les marchés émergents,
stimulent la croissance de Takeda. Plus de 30 000 employés de Takeda
s’engagent à améliorer la qualité de vie des patients en collaborant
avec nos partenaires du secteur des soins de santé dans plus de 70 pays.
Pour de plus amples informations, visitez http://www.takeda.com/news.

De plus amples informations à propos de Takeda sont disponibles sur le
site de la société www.takeda.com,
et des informations additionnelles au sujet de Takeda Oncology, la
marque de l’unité commerciale mondiale d’oncologie de Takeda
Pharmaceutical Company Limited, sont disponibles sur son site www.takedaoncology.com.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Takeda Pharmaceutical Company Limited
Médias japonais
Tsuyoshi
Tada, +81 (0) 3 3278 2417
tsuyoshi.tada@takeda.com
ou
Médias
européens

Kate Burd, +44 7974 151510
kate.burd@takeda.com
ou
Médias
hors Japon/UE

Amy Atwood, +1 617 551 3683
amy.atwood@takeda.com