Press release

Takeda va présenter un portefeuille élargi de produits oncologiques, via des présentations de données lors des prochaines réunions médicales

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Takeda partagera des données lors de la réunion annuelle de
l’Association américaine d’oncologie clinique (ASCO), du Congrès de
l’Association européenne d’hématologie (AEH) et de la conférence
internationale sur le lymphome malin (ICML) –

− Ces données soulignent la mission de Takeda consistant à répondre
aux besoins non satisfaits des patients dans une vaste gamme de types de
cancers –

CAMBRIDGE, Massachusetts, et OSAKA, Japon–(BUSINESS WIRE)–Takeda Pharmaceutical Company Limited (TSE
: 4502
) a annoncé aujourd’hui que la société présentera de nouvelles
analyses cliniques et résultats de recherches lors de trois réunions
médicales à venir : la 53ème rencontre annuelle de l’Association
américaine d’oncologie clinique (ASCO), qui aura lieu du 2 au 6 juin à
Chicago, le 22ème Congrès de l’Association européenne d’hématologie
(AEH), qui se tiendra du 22 au 25 juin à Madrid, et la conférence
internationale 2017 sur le lymphome malin (ICML), qui aura lieu du 14 au
17 juin à Lugano, en Suisse. Cette année, les présentations mettront en
lumière l’engagement continu de Takeda en faveur des patients souffrant
de cancers hématologiques, tout en effectuant une démonstration d’un
portefeuille élargi suite à l’ajout récent de nouveaux traitements et
pipelines ciblés pour lutter contre les tumeurs solides.

« La présence de Takeda Oncology à ces prochaines réunions médicales
démontre que nous nous efforçons constamment de proposer des innovations
aux patients atteints d’un cancer », a déclaré Christophe Bianchi, M.D.,
président de Takeda Oncology. « Les données que nous présentons
soulignent l’intensité et l’ampleur de notre portefeuille récemment
élargi, qui inclut dorénavant à la fois les malignités hématologiques et
les tumeurs solides, avec la récente homologation d’ALUNBRIG™
(brigatinib) pour le traitement du cancer du poumon non à petites
cellules (CPNPC) métastatique, et nous rapproche de notre objectif qui
est de guérir le cancer. »

Lors de la réunion de l’ASCO, Takeda présentera des résultats rapportés
par les patients et des conclusions en matière de qualité de vie issus
de l’essai pivot ALTA (ALK in Lung Cancer Trial
of AP26113) de phase 2 portant sur ALUNBRIG™, qui a
récemment reçu une désignation pour examen en priorité de l’Agence
américaine des produits alimentaires et des médicaments (la « FDA »)
pour le traitement des patients souffrant d’un cancer du poumon non à
petites cellules (CPNPC) métastatique, positif à la kinase du lymphome
anaplasique (ALK+), qui ont vu leur maladie progresser en étant sous
crizotinib ou qui sont intolérants à ce produit. Environ deux à huit
pour cent des patients atteints de CPNPC métastatique présentent un
remaniement du gène ALK. Les résultats d’une analyse de l’activité du
médicament chez les patients atteints d’un CPNPC ALK+ résistant au
crizotinib d’après l’état mutationnel du plasma ALK seront également
présentés.

Lors de la réunion de l’ASCO et du congrès de l’AEH seront présentées
les conclusions d’études de médicaments de Takeda pour le traitement de
tout un éventail de cancers du sang, dont le lymphome, le myélome
multiple et la leucémie myéloïde chronique. Les données de l’étude
ALCANZA de phase 3 sur l’utilisation d’ADCETRIS (brentuximab védotine)
pour traiter le lymphome cutané à cellules T CD30+ seront présentées à
la réunion de l’ASCO ainsi qu’au Congrès de l’AEH. Plusieurs études de
phases 1 et 2 évaluant NINLARO (ixazomib) sur des patients atteints d’un
myélome multiple nouvellement diagnostiqué seront présentées au congrès
de l’AEH, dont deux présentations orales concernant l’évaluation de la
prise d’ixazomib plus lénalidomide et dexaméthasone suivie d’un
traitement d’entretien avec de l’ixazomib comme agent unique. De plus,
l’ASCO et l’AEH mettront en lumière les résultats à cinq ans de l’essai
PACE de phase 2 portant sur l’administration d’ICLUSIG®
(ponatinib) dans le traitement de la leucémie myéloïde chronique en
phase chronique ayant déjà fait l’objet de prétraitements lourds.

Parmi les neuf résumés sponsorisés par Takeda et acceptés pour
présentation lors de la réunion 2017 de l’ASCO et les 15 résumés devant
être présentés lors du Congrès 2017 de l’AEH, figurent notamment les
points forts suivants :

Réunion annuelle 2017 de l’ASCO

ADCETRIS (brentuximab vedotin) :

ALUNBRIG (brigatinib) :

ICLUSIG (ponatinib) :

22ème congrès de l’AEH

ADCETRIS (brentuximab vedotin) :

NINLARO (ixazomib) :

ICLUSIG (ponatinib) :

Pour de plus amples informations, veuillez consulter les programmes en
ligne de l’ASCO (https://am.asco.org/program)
et de l’AEH (http://www.eha-2017.org/).
Les résumés pour l’ICML seront publiés le 7 juin.

À propos d’ADCETRIS (brentuximab vedotin)

ADCETRIS fait l’objet d’une vaste évaluation dans le cadre de plus de 70
essais cliniques en cours, y compris dans trois études de phase 3 :
l’essai ECHELON-1 en cours sur le lymphome de Hodgkin classique
précédemment non traité, l’essai ECHELON-2 en cours sur les lymphomes à
cellules T matures précédemment non traités et l’essai ALCANZA terminé
sur le lymphome cutané à cellules T pour lequel un BLA supplémentaire
est prévu mi-2017.

ADCETRIS est un conjugué anticorps-médicament (CAM) comprenant un
anticorps monoclonal anti-CD30 fixé par un lieur clivable par protéase à
un agent perturbant les microtubules, l’auristatine monométhyle E
(MMAE), médicament synthétique utilisant la technologie exclusive de
Seattle Genetics. Le CAM emploie un système de liaison conçu pour être
stable dans le sang mais pour libérer la MMAE lors de l’internalisation
dans les cellules cancéreuses CD30+.

ADCETRIS pour injection intraveineuse a reçu une autorisation de la FDA
pour trois indications : (1) une autorisation régulière pour le
traitement de patients atteints d’un lymphome de Hodgkin (LH) classique
après l’échec d’une autogreffe de cellules souches hématopoïétiques
(AGCS) ou après l’échec d’au moins deux chimiothérapies multi-agents
chez les patients non admissibles à l’AGCS, (2) une autorisation
régulière pour le traitement de patients atteints d’un LH classique
présentant un risque élevé de rechute ou de progression de la maladie
comme consolidation post-AGCS, et (3) une autorisation accélérée pour le
traitement de patients atteints d’un lymphome anaplasique à grandes
cellules systémique (LAGCs) après l’échec d’au moins une chimiothérapie
multi-agents antérieure. L’indication pour le LAGCs est autorisée en
vertu d’une autorisation accélérée fondée sur le taux de réponse
globale. Le maintien de l’autorisation pour l’indication de LAGCs peut
être soumis à une vérification et à la description des bénéfices
cliniques lors d’essais confirmatoires. Santé Canada a accordé une
approbation conditionnelle à ADCETRIS pour le LH et le LAGCs récidivants
ou réfractaires.

ADCETRIS a reçu une autorisation conditionnelle de commercialisation de
la Commission européenne en octobre 2012 pour deux indications : (1)
pour le traitement des patients adultes atteints de LH CD30+ récidivant
ou réfractaire suite à une autogreffe de cellules souches (AGCS), ou
suite à au moins deux thérapies antérieures lorsque l’AGCS ou la
chimiothérapie multi-agents n’est pas une option de traitement, et (2)
pour le traitement des patients adultes atteints d’un LAGCs récidivant
ou réfractaire. La Commission européenne a prolongé l’actuelle
autorisation de commercialisation conditionnelle d’ADCETRIS et a
approuvé ADCETRIS pour le traitement des patients adultes atteints d’un
LH CD30+ présentant un risque accru de rechute ou de progression de la
maladie après une AGCS.

ADCETRIS a reçu une autorisation de commercialisation de la part des
autorités de réglementation dans 66 pays pour le traitement du LH et du
LAGCs récidivants ou réfractaires. Veuillez consulter ci-dessous les
informations importantes relatives à l’innocuité.

Seattle Genetics et Takeda développent conjointement ADCETRIS. Selon les
modalités de l’entente de collaboration, Seattle Genetics possède les
droits de commercialisation aux États-Unis et au Canada, et Takeda
possède les droits de commercialisation d’ADCETRIS dans le reste du
monde. Seattle Genetics et Takeda financent conjointement les coûts de
développement d’ADCETRIS, à proportions égales, sauf au Japon où Takeda
assume l’entière responsabilité des coûts de développement.

Informations importantes relatives à l’innocuité au niveau mondial
concernant ADCETRIS (brentuximab vedotin)

CONTRE-INDICATIONS

ADCETRIS est contre-indiqué chez les patients hypersensibles au
brentuximab vedotin ou à ses excipients. Par ailleurs, l’utilisation
combinée d’ADCETRIS et de bléomycine est contre-indiquée car elle
provoque une toxicité pulmonaire.

MISES EN GARDE ET PRÉCAUTIONS SPÉCIALES

Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) : Une
réactivation du virus John Cunningham (JCV) entraînant une LEMP et la
mort peut survenir chez les patients traités par ADCETRIS. Il a été
rapporté des cas de LEMP chez des patients ayant reçu ADCETRIS après
avoir reçu de multiples protocoles de chimiothérapie antérieurs.

Les patients doivent être étroitement surveillés pour vérifier
l’apparition ou l’aggravation de signes ou de symptômes neurologiques,
cognitifs ou comportementaux pouvant être évocateurs d’une LEMP.
L’évaluation suggérée de la LEMP inclut une consultation en neurologie,
une imagerie par résonance magnétique rehaussée avec du gadolinium du
cerveau et une analyse du liquide céphalorachidien pour l’ADN du JCV par
amplification en chaîne par polymérase ou une biopsie du cerveau avec
preuve de JCV. La posologie d’ADCETRIS doit être suspendue pour tout cas
suspecté de LEMP, et arrêtée définitivement si un diagnostic de LEMP est
confirmé.

Pancréatite : Des cas de pancréatite aiguë ont été observés chez
des patients traités par ADCETRIS. Des issues fatales ont été signalées.
Les patients doivent être étroitement surveillés pour vérifier
l’apparition ou l’aggravation de douleurs abdominales, qui pourraient
laisser penser à une pancréatite aiguë. L’évaluation du patient peut
inclure un examen médical, une évaluation en laboratoire pour l’amylase
sérique et la lipase sérique, ainsi qu’une imagerie abdominale comme
l’échographie et d’autres mesures diagnostiques appropriées. ADCETRIS
doit être suspendu pour tout cas suspecté de pancréatite aiguë. ADCETRIS
doit être arrêté si un diagnostic de pancréatite aiguë est confirmé.

Toxicité pulmonaire : Des cas de toxicité pulmonaire, dont
certains avec une issue fatale, ont été signalés chez des patients
traités par ADCETRIS. Bien qu’aucune association causale avec ADCETRIS
n’ait été établie, le risque de toxicité pulmonaire ne peut être écarté.
En cas d’apparition ou d’aggravation des symptômes pulmonaires, il
convient de faire une évaluation rapide et de traiter ceux-ci de manière
appropriée.

Infections graves et opportunistes : Des infections graves telles
la pneumonie, la bactériémie à staphylocoque, la septicémie/le choc
septique (y compris des cas mortels) et le zona, ainsi que des
infections opportunistes comme la pneumonie à Pneumocystis jiroveci et
la candidose orale, ont été signalées chez des patients traités par
ADCETRIS. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant le
traitement pour vérifier l’apparition possible d’infections graves ou
opportunistes.

Réactions liées à la perfusion : Des réactions liées à la
perfusion, immédiates et retardées, ainsi que des cas d’anaphylaxie,
sont survenus avec ADCETRIS. Les patients doivent être étroitement
surveillés pendant et après une perfusion. Si une anaphylaxie se
manifeste, l’administration d’ADCETRIS doit être interrompue
immédiatement et de manière permanente, et un traitement médical
approprié doit être administré. En cas de réaction liée à la perfusion,
la perfusion doit être interrompue et une prise en charge médicale
appropriée doit être mise en place. La perfusion peut être redémarrée
avec un débit plus lent après disparition des symptômes. Les patients
ayant subi une réaction liée à la perfusion antérieure doivent faire
l’objet d’une prémédication lors des perfusions ultérieures. Les
réactions liées à la perfusion sont plus fréquentes et plus graves chez
les patients ayant des anticorps contre ADCETRIS.

Syndrome de lyse tumorale (SLT) : Des cas de syndrome de lyse
tumorale ont été signalés avec ADCETRIS. Les patients avec une tumeur
proliférant rapidement ou une masse tumorale importante présentent un
risque de syndrome de lyse tumorale. Ces patients doivent être
étroitement surveillés et les symptômes gérés conformément aux
meilleures pratiques médicales.

Neuropathie périphérique (NP) : Le traitement par ADCETRIS peut
provoquer une neuropathie périphérique, de nature à la fois sensorielle
et motrice. Une neuropathie périphérique causée par ADCETRIS est
généralement cumulative et réversible dans la plupart des cas. Les
patients doivent être surveillés pour vérifier l’apparition de symptômes
de neuropathie périphérique tels l’hypoesthésie, l’hyperesthésie, la
paresthésie, une gêne, une sensation de brûlure, une douleur
neuropathique ou des faiblesses. En cas d’apparition ou d’aggravation
d’une neuropathie périphérique, les patients peuvent nécessiter un
report et une réduction de dose ou la suspension du traitement par
ADCETRIS.

Toxicités hématologiques : ADCETRIS est susceptible de provoquer
une anémie de grade 3 ou 4, une thrombocytopénie ou une neutropénie
prolongée (égale ou supérieure à une semaine) de grade 3 ou 4. La
numération sanguine complète doit être contrôlée avant l’administration
de chaque dose.

Neutropénie fébrile : Des cas de neutropénie fébrile ont été
signalés. En cas de développement d’une neutropénie fébrile, il est
nécessaire de surveiller étroitement les patients pour vérifier la
survenue d’états fébriles et de les traiter conformément aux meilleures
pratiques médicales.

Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) : Des cas de syndrome de
Stevens-Johnson (SSJ) et de nécrolyse épidermique toxique (NET) ont été
signalés avec ADCETRIS. Des issues fatales ont été signalées. En cas
d’apparition de syndrome de Stevens-Johnson ou de nécrolyse épidermique
toxique, il convient d’interrompre le traitement par ADCETRIS et
d’administrer un traitement médical approprié.

Complications gastro-intestinales : Des complications
gastro-intestinales, dont certaines avec une issue fatale, ont été
signalées ; elles incluent des cas d’occlusion intestinale, d’iléus,
d’entérocolite, de colite neutropénique, d’érosion, d’ulcère, de
perforation et d’hémorragie. En cas d’apparition ou d’aggravation des
symptômes gastro-intestinaux, il convient de réaliser une évaluation
rapide et de traiter celles-ci de manière appropriée.

Hépatotoxicité : Des élévations des taux d’alanine
aminotransférase (ALAT) et d’aspartate aminotransférase (ASAT) ont été
signalées. Des cas graves d’hépatotoxicité, dont certains avec une issue
fatale, sont également survenus. La fonction hépatique doit être testée
avant le début du traitement et surveillée régulièrement chez les
patients recevant ADCETRIS. Les patients atteints d’hépatotoxicité
peuvent nécessiter un report, une modification de dose ou la suspension
de la prise d’ADCETRIS.

Hyperglycémie : Des cas d’hyperglycémie ont été signalés lors des
essais chez des patients possédant un indice de masse corporelle (IMC)
élevé avec ou sans antécédents de diabète sucré. Toutefois, les taux de
glucose sérique doivent être étroitement surveillés chez tous les
patients subissant un événement d’hyperglycémie, et un traitement
antidiabétique doit être administré le cas échéant.

Insuffisance rénale et hépatique : L’expérience est limitée chez
les patients présentant une insuffisance rénale et hépatique. Les
données disponibles indiquent que la clairance MMAE pourrait être
affectée par une insuffisance rénale sévère, une insuffisance hépatique
et par de faibles concentrations d’albumine sérique. La dose de
démarrage recommandée chez les patients souffrant d’insuffisance
hépatique ou d’insuffisance rénale grave est de 1,2 mg/kg, administrée
sous forme de perfusion intraveineuse pendant 30 minutes toutes les 3
semaines. Il convient de surveiller de près les patients souffrant
d’insuffisance hépatique ou rénale afin de déceler tout effet
indésirable.

Teneur en sodium des excipients : Ce médicament contient un
maximum de 2,1 mmol (ou 47 mg) de sodium par dose. Il convient de
prendre en compte cette information pour le traitement des patients
ayant une alimentation réduite en sodium.

INTERACTIONS
Les patients recevant un puissant inhibiteur du
CYP3A4 et de la glycoprotéine P simultanément au traitement par ADCETRIS
peuvent présenter un risque accru de neutropénie et doivent être
étroitement surveillés. L’administration conjointe d’ADCETRIS avec un
inducteur du CYP3A4 n’a pas modifié l’exposition plasmatique d’ADCETRIS,
mais il est apparu qu’elle réduisait les concentrations plasmatiques des
métabolites MMAE ayant pu être analysées. ADCETRIS ne devrait pas
modifier l’exposition à des médicaments qui sont métabolisés par les
enzymes CYP3A4.

GROSSESSE : Les femmes en âge de procréer doivent utiliser deux
méthodes de contraception efficaces durant un traitement par ADCETRIS et
jusqu’à 6 mois après celui-ci. On ne dispose d’aucune donnée sur
l’utilisation d’ADCETRIS chez la femme enceinte, les études sur les
animaux ont toutefois montré une toxicité reproductive. ADCETRIS ne doit
pas être utilisé pendant la grossesse, à moins que les avantages pour la
mère ne l’emportent sur les risques potentiels pour le fœtus. Si une
femme enceinte doit être traitée, elle doit être clairement informée du
risque potentiel pour le fœtus.

ALLAITEMENT : On ne dispose d’aucune donnée permettant de savoir
si ADCETRIS ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel ; de
ce fait, on ne peut exclure un risque pour le nouveau-né/nourrisson. Du
fait du risque potentiel, il convient de décider de cesser l’allaitement
ou d’arrêter/de s’abstenir d’adopter un traitement par ADCETRIS.

FERTILITÉ : Dans les études non cliniques, un traitement par
ADCETRIS a conduit à une toxicité testiculaire, susceptible d’altérer la
fertilité masculine. Il est conseillé aux hommes traités avec ce
médicament de ne pas concevoir d’enfant durant un traitement et jusqu’à
6 mois suite à la prise de la dernière dose.

EFFETS INDÉSIRABLES
Les réactions médicamenteuses
indésirables graves étaient : la pneumonie, le syndrome de détresse
respiratoire aiguë, la migraine, la neutropénie, la thrombocytopénie, la
constipation, la diarrhée, les vomissements, les nausées, la pyrexie, la
neuropathie périphérique motrice, l’hyperglycémie, la polyneuropathie
démyélinisante, le syndrome de lyse tumorale et le syndrome de
Stevens-Johnson.

Dans les études cliniques sur ADCETRIS, les effets indésirables définis
comme très fréquents (≥ 1/10) étaient : les infections, les infections
des voies respiratoires supérieures, la neutropénie, la neuropathie
périphérique (sensorielle et motrice), la toux, la dyspnée, la diarrhée,
les nausées, les vomissements, la constipation, les douleurs
abdominales, l’alopécie, le prurit, la myalgie, l’arthralgie, la
fatigue, les frissons, la pyrexie, les réactions liées à la perfusion et
la perte de poids. Les effets indésirables définis comme communs (≥
1/100 à < 1/10) étaient : la septicémie/le choc septique, le zona, la
pneumonie, l’herpès simplex, l’anémie, la thrombocytopénie,
l’hyperglycémie, les vertiges, la polyneuropathie démyélinisante, les
élévations de l’ALAT et de l’ASAT, les éruptions cutanées et les
dorsalgies.

À propos des capsules de NINLAROTM (ixazomib)

NINLAROTM (ixazomib) est un inhibiteur oral du
protéasome qui fait également l’objet d’études dans le continuum des
cadres de traitement du myélome multiple, ainsi que de l’amylose (AL) à
chaînes légères systémique. Ce fût le premier inhibiteur oral du
protéasome à faire l’objet d’essais cliniques de phase 3 et à bénéficier
d’une homologation. NINLARO a été approuvé par l’Agence américaine des
produits alimentaires et des médicaments (la « FDA ») en novembre 2015
suite à un examen prioritaire. Aux États-Unis, NINLARO (ixazomib) est
indiqué en association avec le lénalidomide et la dexaméthasone pour le
traitement des patients atteints de myélome multiple ayant reçu au moins
un traitement antérieur.

L’ixazomib a reçu la désignation de médicament orphelin aux États-Unis
et en Europe pour le myélome multiple en 2011, et pour l’amylose AL en
2012. L’ixazomib a reçu la désignation de traitement révolutionnaire de
la FDA pour l’amylose (AL) à chaînes légères systémique récurrente ou
réfractaire en 2014.

TOURMALINE, le programme complet de développement clinique de
l’ixazomib, renforce l’engagement continu de Takeda à mettre au point
des thérapies innovantes pour les personnes souffrant d’un myélome
multiple à travers le monde et les professionnels de la santé qui les
traitent. TOURMALINE inclut au total cinq essais pivots en cours –
quatre, qui ensemble étudient chaque population majeure de patients
atteints de myélome multiple, et un concernant l’amylose à chaînes
légères :

  • TOURMALINE-MM1, qui étudie l’ixazomib en comparaison avec un placébo,

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