Près d'un an s'est écoulé depuis la cyber-attaque contre TV5 Monde. La politique de sécurité s'est durcie, mais tout n'est pas encore rentré dans l'ordre.

Près d'un an s'est écoulé depuis la cyber-attaque contre TV5 Monde. La politique de sécurité s'est durcie, mais tout n'est pas encore rentré dans l'ordre.
Avec l'état d'urgence prolongé, le gouvernement veut bloquer les sites Web de propagande djihadiste et filtrer les contenus qui heurtent sur les réseaux sociaux.
Sur les réseaux sociaux, les internautes se mobilisent face au terrorisme. Twitter se distingue avec #PorteOuverte tandis que le bouton "safety check" activé sur Facebook marche bien.
Dell, Check Point, Fortinet, Provadys, Nomios…Des experts de la sécurité IT partagent leur point de vue à chaud sur le piratage visant TV5 Monde.
Le FBI veut endiguer les risques de défacement des sites Web réalisés au nom du cyber-djihadisme. Mais on trouve souvent derrière juste des script kiddies.
Une première dans la hacktivisme ? Trois réseaux de hackers ont dévoilé une liste de 9200 comptes Twitter ayant des liens présumés avec l'organisation terroriste Etat islamique.
En application de la nouvelle loi antiterroriste, l'administration a ordonné, sans recours à l'autorité judiciaire, le blocage de plusieurs sites djihadistes.
Entre espions chinois et collectifs de hackers à la solde de l'Etat islamique, les médias américains font face à une vague de cyber-attaques.
Le ministre de l'Intérieur a présenté un décret précisant la procédure qui doit permettre d'empêcher l'accès à des sites Internet "faisant l'apologie du terrorisme".
Parmi les mesures édictées par Manuel Valls pour lutter contre le terrorisme figure la création d'un site Internet public recensant les moyens de contrer l'influence des réseaux djihad.
Comment résorber les appels à la haine et l'apologie du terrorisme via les services vidéo et les réseaux sociaux ? Le ministère de l'Intérieur y travaille.
Après l'attentat sur Charlie Hebdo, les hacktivistes d'Anonymous veulent défendre la liberté de la pressse en visant les réseaux de djihad sur Internet. Mais ça s'emballe.
De la menace à l'exécution : Anonymous cible des sites ou comptes de réseaux sociaux présumés islamistes. Mais les réseaux djihad s'activent aussi contre le Web français.