Libéré de ses obligations envers ses créanciers, Kodak va pouvoir émerger de sa procédure de redressement judiciaire initiée sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine régissant les faillites.

Libéré de ses obligations envers ses créanciers, Kodak va pouvoir émerger de sa procédure de redressement judiciaire initiée sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine régissant les faillites.
En cédant à son principal créancier ses activités d'imagerie grand public, Kodak compte émerger sous peu de sa procédure de redressement judiciaire initiée sous la protection de la loi américaine régissant les faillites.
A la faveur d'une offre préliminaire de Brother, Kodak est assuré de générer a minima 210 millions de dollars en vendant une partie de ses actifs dans le domaine de l'imagerie grand public.
En vendant ses brevets pour 525 millions de dollars, Kodak a levé les barrières à l'obtention de prêts pour appuyer sa sortie de faillite. La justice américaine lui a donné son aval.
La société Atari n'a plus le soutien de son actionnaire principal et seul prêteur. La voici qui dépose le bilan, dans le sillage de ses filiales américaines.
Mis en redressement judiciaire, le groupe de distribution high-tech Surcouf, propriété de Hugues Mulliez, un des membres de la famille fondatrice d’Auchan, est à vendre, dans sa totalité.
Un cabinet d'études télécoms finlandais a érigé une règle sur "l'espérance de vie" des fabricants de téléphonie mobile. Nokia, LG et RIM sont en danger.
Kodak se réfugie sous la protection du "Chapter 11", la loi américaine régulant les faillites. Elle poursuivra ses activités pendant sa restructuration.
Selon le WSJ, Kodak pourrait se réfugier sous la protection du "Chapter 11" (procédure de mise en faillite aux Etats-Unis). L'ancien géant de la photographie a raté le virage du numérique.
Sous la houlette de la justice canadienne et américaine, un portefeuille de brevets du défunt Nortel sera réparti entre Apple, Microsoft, RIM, EMC, Sony et Ericsson. Google a été exclu.
La procédure de cession par enchère de Sex.com est suspendue. Qui va atteindre le septième ciel avec ce juteux nom de domaine ?