Le pouvoir islamiste en Iran a mis en ligne un "YouTube-like" qui lui sert de canal officiel de propagande. On n'est jamais mieux servi que par soi-même.
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Le pouvoir islamiste en Iran a mis en ligne un "YouTube-like" qui lui sert de canal officiel de propagande. On n'est jamais mieux servi que par soi-même.
Selon F-Secure, un virus met en rade les ordinateurs de sites nucléaires en Iran sur fond de musique du groupe AC/DC (bonus vidéo).
Selon le Washington Post, les services de renseignement des deux pays ont collaboré pour concevoir ce malware industriel. Cible : l'Iran et son projet de bombe nucléaire.
Le "malware industriel" Flame a touché l'industrie pétrolière iranienne. Les autorités du pays dénoncent un complot d'Israël. Entre géopolitique et cyber-espionnage...
Une cyber-attaque contre l'infrastructure informatique iranienne a obligé le pays à fermer des terminaux d'exportation de pétrole. Un nouveau Stuxnet ?
Au-delà de Google, le hacking affectant DigiNotar du nom d'un spécialiste de l'authentification IT a touché des services de renseignements comme la CIA. C'est très inquiétant pour la sécurisation d'internet via la surcouche SSL.
L'opérateur télécoms national de la Fédération de Russie entre dans un consortium pour déployer un vaste réseau traversant l'Europe, la Russie jusqu'au Golfe Persique.
Un haut fonctionnaire iranien a laissé entendre que Siemens avait coopéré avec les États-Unis et Israël pour créer et déployer le ver Stuxnet en fournissant des détails sur le système de contrôle des centrifugeuses utilisé par Téhéran.
Selon le journal Haaretz, un général de l’armée israélienne a reconnu avoir supervisé la création et la propagation du malware Stuxnet, qui a notamment touché les infrastructures iraniennes à l’été 2010.
Avec l'appui de Microsoft, les précautions nécessaires ont été prises pour endiguer la propagation du malware à travers des solutions industrielles de Siemens.
Dans des interventions publiques ou médias, Sergey Brin, co-fondateur de Google, a abordé la cyber-attaque dont Google a fait l'objet et la censure en Chine.
Des sites et réseaux sociaux comme Facebook et Google proposent depuis quelques jours des versions en persan de leurs services, pour mieux relayer les évènements politiques iraniens.
L'administration américaine a demandé à Twitter de reporter une opération de maintenance afin de laisser les jeunes Iraniens s'exprimer librement par le canal de micro-blogging.
Face aux censures organisées sur le Web par les autorités iraniennes, les opposants pro-Moussavi et leurs soutiens à l'étranger utilisent massivement Twitter pour communiquer.