DLP : Covertix veut donner un « garde du corps numérique » à chaque document

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Sécurité d'entreprise

Dans la sécurité IT, Covertix adhère à une vision plus DRM (gestion des droits numérique) que DLP (prévention de la fuite des données). Il a présenté sa solution SmartCipher en France, avec le témoignage de Vente-Privée.com.

Covertix : étiquetage des documents, chiffrement et détection

Cette start-up israélienne qui a développé un système de gestion des droits des fichiers qui sécurise et surveille les données sensibles.

A travers un filigrane gravé dans le fichier (des métadonnées), l’entreprise est en mesure de contrôler les informations sensibles même lorsqu’elles sont utilisées par des parties tierces, volées ou perdues.

Au-delà de la dimension DLP, Covertix s’inscrit dans le champs de l’information rights management (IRM).

« Nous n’essayons pas d’empêcher un document de quitter l’entreprise. Nous y attachons un garde du corps », explique Michael Kazan, Directeur commercial de Covertix.

Sans toutefois qu’il soit possible de traquer le fichier (géolocalisation) ou de le supprimer à distance.

Néanmoins, Covertix prône un « contrôle total », une « protection ciblée » et « une mise en oeuvre transparente des actifs numériques » au-delà du périmètre du réseau d’entreprise.

Un étiquetage intrinsèque des documents, quel que soit le format (Word, PDF…), qui est censé combiner des modes de chiffrement et de détection.

Covertix a pris le soin de mettre sa solution en conformité avec la réglementation portant sur la diffusion d’informations sensibles ou confidentielles (SB1386, PCI-DSS, HIPAA) ou l’intégrité des informations (SOX, NASD2711).

Il est possible d’implémenter SmartCipher en mode actif (protection des fichiers à partir d’application de politiques) ou en mode furtif (supervision et suivi de l’utilisation des fichiers).

Autre avantage mis en avant par Covertix : il n’est pas nécessaire d’entrer dans le système d’information des entreprises pour implémenter sa solution phare à mi-chemin entre l’IRM et la DLP.

(Lire la fin de l’article page 3)


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