Les spams représentent 90% des e-mails reçus

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Selon l’éditeur MessageLabs, les techniques des spammeurs s’affinent pour polluer les boîtes d’emails. Ils utilisent notamment des liens menant vers des profils sur les réseaux sociaux.

L’invasion ne fait que commencer : selon une étude de l’éditeur de sécurité MessageLabs, spécialisé dans la protection de la messagerie en mode SaaS, et racheté par Symantec en 2008, le volume des spams arrivant dans les boîtes e-mails aurait progressé de 5% au mois d’avril dernier.

Dans son rapport mensuel « Intelligence Report », MessageLabs a constaté que les spammeurs envoient de plus en plus de courriers électroniques non sollicités à partir de comptes hébergés chez des éditeurs traditionnels et bien connus.

Cette multiplication inquiétante des spams est en partie due à la prolifération de nouveaux spams contenant un objet et, dans le corps de l’e-mail, un lien menant vers des pages de profils sur les réseaux sociaux créées par des outils permettant de casser automatiquement les codes Captcha. Ces codes Captcha obligent habituellement un utilisateur à taper une suite de chiffres et de lettres recopiée à partir d’une image distordue qui apparaît à l’écran. Ce test permet normalement de différencier automatiquement un utilisateur humain d’un ordinateur.

Les spammeurs mettent au point des attaques de plus en plus subtiles

« Dans ce contexte où le volume des spams reçu par les internautes ne cesse d’augmenter, nous constatons que les spammeurs continuent d’utiliser des techniques d’attaques traditionnelles, mais ils développent également des techniques nouvelles, basées sur un mélange des méthodes existantes », explique Paul Wood, analyste senior pour MessageLabs.

« En 2008, la technique du cassage de Captcha, des réseaux sociaux comme appât et l’utilisation de webmail connus pour l’envoi massif d’e-mails pollueurs sont devenus des tactiques populaires. Aujourd’hui, les spammeurs combinent en même temps ces trois techniques dans le but de considérablement améliorer l’efficacité de leurs attaques », ajoute-t-il.

Le rapport de MessageLabs met aussi en avant que les internautes européens ont plutôt tendance à recevoir davantage de spams en journée, alors que les internautes américains recoivent le plus grand nombre de spams tôt le matin, avec un pic relevé entre 9h et 10h.

L’invasion ne fait que commencer : selon une étude de l’éditeur de sécurité MessageLabs, spécialisé dans la protection de la messagerie en mode SaaS, et racheté par Symantec en 2008, le volume des spams arrivant dans les boîtes e-mails aurait progressé de 5% au mois d’avril dernier.

Dans son rapport mensuel « Intelligence Report », MessageLabs a constaté que les spammeurs envoient de plus en plus de courriers électroniques non sollicités à partir de comptes hébergés chez des éditeurs traditionnels et bien connus.

Cette multiplication inquiétante des spams est en partie due à la prolifération de nouveaux spams contenant un objet et, dans le corps de l’e-mail, un lien menant vers des pages de profils sur les réseaux sociaux créées par des outils permettant de casser automatiquement les codes Captcha. Ces codes Captcha obligent habituellement un utilisateur à taper une suite de chiffres et de lettres recopiée à partir d’une image distordue qui apparaît à l’écran. Ce test permet normalement de différencier automatiquement un utilisateur humain d’un ordinateur.

Les spammeurs mettent au point des attaques de plus en plus subtiles

« Dans ce contexte où le volume des spams reçu par les internautes ne cesse d’augmenter, nous constatons que les spammeurs continuent d’utiliser des techniques d’attaques traditionnelles, mais ils développent également des techniques nouvelles, basées sur un mélange des méthodes existantes », explique Paul Wood, analyste senior pour MessageLabs.

« En 2008, la technique du cassage de Captcha, des réseaux sociaux comme appât et l’utilisation de webmail connus pour l’envoi massif d’e-mails pollueurs sont devenus des tactiques populaires. Aujourd’hui, les spammeurs combinent en même temps ces trois techniques dans le but de considérablement améliorer l’efficacité de leurs attaques », ajoute-t-il.

Le rapport de MessageLabs met aussi en avant que les internautes européens ont plutôt tendance à recevoir davantage de spams en journée, alors que les internautes américains recoivent le plus grand nombre de spams tôt le matin, avec un pic relevé entre 9h et 10h.