Iomega StorCenter px4-300d : un NAS pour stocker toutes ses envies ?

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Iomega Storcenter px4

ITespresso.fr s’est attaché les services du StorCenter px4-300d, un dispositif de stockage NAS destiné aux PME. Premier épisode, une remise en contexte et la configuration initiale d’un produit qui s’avère prometteur.

A l’appel pressant des entreprises, Iomega répond du dénommé StorCenter px4-300d, un dispositif de stockage NAS dont les caractéristiques augurent d’ambitions à l’image d’un standing restrictif, pour mieux atteindre un coeur de cible : les PME.

Voilà un exemple concret en qualité de faire-valoir à destination des petites structures désireuses de disposer d’une plate-forme versatile, suffisamment sécurisée et accessible sans heurts par le personnel dans son intégralité, le tout moyennant des investissements initiaux mesurés.

Un refrain que l’esprit commun des constructeurs s’entête depuis belle lurette à entériner comme la seule vérité du stockage d’entreprise. Force est néanmoins de constater qu’appréhender ainsi l’évolution de l’IT ne tient pas totalement de l’absurde.

Pour autant, à l’heure où moins de la moitié des dirigeants de PME s’estime à la page des nouvelles technologies, l’hébergement et l’archivage de données s’apparente à une insipide logorrhée, venue l’heure de démêler le pour du contre.

En quête d’espace disque dans l’optique de soulager leurs stations de montage vidéo, les rédactions du groupe NetMediaEurope (éditeur de ITespresso.fr) ont mis un point d’honneur à formuler, à l’unisson, des exigences motivées par divers mots d’ordre, disponibilité et fiabilité en tête.

Outre les sempiternels chefs d’accusation retenus à l’encontre de tant de NAS (réactivité, débit et sécurisation des transferts, efficacité du système de récupération de fichiers), s’impose un cadre professionnel propice à la consumérisation des plates-formes nomades.

D’où la nécessité de composer avec un large éventail de terminaux clients : aux smartphones des uns s’adjoignent les tablettes des autres, jusqu’aux ultrabooks de passage sur le banc de tests d’ITespresso.fr.

Inéluctablement, d’un tel éclatement matériel découle un morcellement logiciel qu’impliquent à plus fort titre la démultiplication des OS mobiles et la virtualisation, dans une moindre mesure.

Face à cette problématique globale qui englobe en parallèle la nécessité d’une administration centralisée et d’un accès à distance, Iomega accouche d’une collaboration avec EMC, omniprésent sur le marché des NAS.

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